Le pape « Francisco » qui kiffait grave le foot et l’écologie et n’aimait pas la guerre serait donc « parti en beauté » (selon la presse) ayant tout juste eu le temps de te souhaiter « Joyeuses Pâques ». Las, il n’aura peu le temps d’avoir l’autre François (le Beeeeyrou) au téléphone pour lui demander le mode d’emploi pour préparer un bon conclave qui fait de la fumée blanche.
Et sinon ? Désavoué et isolé depuis sa funeste dissolution qui n’a pas très bien marché, ton Souverain (euh) chercherait (selon la presse) à se réinventer, entouré de militaires et de jeunes communicants survoltés, hyper-focus sur sa nouvelle passion : la guerre, la guerre, la guerre !
Et hop, le temps de changer de costume et le voilà en bras de chemises en pleine tournée humanitaire « peace and love » dans nos îles lointaines serrant des mains dans des bains de foule savamment orchestrés par le préfet promettant aux riens qui n’ont plus rien qu’il va leur donner un peu de ce bel argent sans lequel ils resteront à jamais des moins que rien...
Et hop, le temps de porter sa plus belle croix et tu as failli le voir sur cette image qui a fait le tour du monde et des galaxies : Zélensky et Trump surjouant l’entente cordiale en marge des funérailles du pape...
Au dernier moment, la troisième chaise a été mystérieusement enlevée. L’Élysée dément cette version assurant que le chef de l’État n’a jamais voulu jouer le « troisième homme ».