Le 20.06.20, un défilé de milliers de sans-papiers et de manifestant.es solidaires foulent le pavé des boulevards de Nation à Stalingrad. Tous.tes revendiquent : la fermeture des CRA, des logements et la régularisation pour tous.tes.
Le 20.06.20, un défilé de milliers de sans-papiers et de manifestant.es solidaires foulent le pavé des boulevards de Nation à Stalingrad. Tous.tes revendiquent : la fermeture des CRA, des logements et la régularisation pour tous.tes.
Le 20.06.20, la place de la République à Paris se fait le départ de la marche commémorative annuelle pour Lamine Dieng tué dans l'arrière d'un fourgon de Police par une manœuvre de plaquage ventral en 2007. De nombreux collectifs de familles de victimes sont présents et prennent la tête du cortège.
Le 13.06.20, à l'initiative de collectifs contre les violences policières et de familles de victimes, des milliers de personnes se réunissent Place de la République pour une manifestation contre le racisme d'état et l'impunité de ces violences. L'entrave au démarrage de la marche prévue par le dispositif policier marque le début d'affrontements entre manifestant.es et forces de l'ordre.
Le 06.06.20, à l'initiative de collectifs contre les violences policières et de familles de victimes, un rassemblement pour protester contre le racisme d'état et l'impunité de ces violences prend place aux Champs de Mars jusqu'à la Place du Maréchal Joffre. Pendant les prises de paroles : un dispositif policier vient s'installer, charger, nasser, et ralentir la dispersion de la foule.
Le jeudi 21 mai, les soignant.es de l'hôpital Robert Debré et des civil.es solidaires se sont réuni.es pour protester contre le manque de mesures prises par l'état pour ralentir le processus de délabrement de l'hôpital public depuis la réforme T2A. Après un début de dispersion, les forces de l'ordre nassent une vingtaine de soignant.es et civil.es et les verbalisent à hauteur de 135€.
Devant le Tribunal de Paris, à l'appel de collectifs "Vérité et Justice", quelques milliers de personnes se joignent et protestent contre les violences policières. Vers 19h30, aux périphéries du rassemblement où des personnes sont empêchées de quitter les lieux, les forces de l'ordre font l'usage de lacrymogène et déclenchent un climat de tension. La foule se fait mobile, ingouvernable.
Le 20.06.20, la place de la République à Paris se fait le départ de la marche commémorative annuelle pour Lamine Dieng tué dans l'arrière d'un fourgon de Police par une manœuvre de plaquage ventral en 2007. De nombreux collectifs de familles de victimes sont présents et prennent la tête du cortège.
Le 13.06.20, à l'initiative de collectifs contre les violences policières et de familles de victimes, des milliers de personnes se réunissent Place de la République pour une manifestation contre le racisme d'état et l'impunité de ces violences. L'entrave au démarrage de la marche prévue par le dispositif policier marque le début d'affrontements entre manifestant.es et forces de l'ordre.
Le 06.06.20, à l'initiative de collectifs contre les violences policières et de familles de victimes, un rassemblement pour protester contre le racisme d'état et l'impunité de ces violences prend place aux Champs de Mars jusqu'à la Place du Maréchal Joffre. Pendant les prises de paroles : un dispositif policier vient s'installer, charger, nasser, et ralentir la dispersion de la foule.
Le jeudi 21 mai, les soignant.es de l'hôpital Robert Debré et des civil.es solidaires se sont réuni.es pour protester contre le manque de mesures prises par l'état pour ralentir le processus de délabrement de l'hôpital public depuis la réforme T2A. Après un début de dispersion, les forces de l'ordre nassent une vingtaine de soignant.es et civil.es et les verbalisent à hauteur de 135€.
Devant le Tribunal de Paris, à l'appel de collectifs "Vérité et Justice", quelques milliers de personnes se joignent et protestent contre les violences policières. Vers 19h30, aux périphéries du rassemblement où des personnes sont empêchées de quitter les lieux, les forces de l'ordre font l'usage de lacrymogène et déclenchent un climat de tension. La foule se fait mobile, ingouvernable.