Hier soir, nous avons écouté un biologiste coincé en Corée du sud, qui donnait son point de vue sur la gestion de la pandémie dans le cadre de A l'air libre ( Médiapart)
Très dur envers le gouvernement, il évoquait, avec un soupir de découragement, la différence entre la gestion française de la pandémie et celle de la Corée dans laquelle l'ordre médical a le pouvoir de prendre les mesures nécessaires, chose impossible, regrettait-il, en France. Valentine Oberti, souriante, insistait sur cette impossibilité, comme si il allait de soi, que la solution coréenne était la bonne.
Par la suite, le même biologiste parlait du tracking nécessaire pour contenir la pandémie, affirmant avec bonhomie quelques contre vérités, comme par exemple : pas de problèmes avec le traking, une fois que les infos sont prises, c'est fini, il n' y a pas de traces.
Heu, oui, une fois que tu as pris les coordonnées de ma carte de crédit, tu n'as pas besoin de zoner sur mon profil, c'est vrai.
Il y a l'idée de l"’intérêt commun". Qui semble se limiter au fait de rester en vie. Mais une vie définie, une fois de plus, comme vie biologique. Si tout est bon pour ne pas mourir, quel sens a notre vie ?