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Pas d’Eurogénocide 2025, le lauréat de 2024 rend son trophée

L’accord de cessez-le-feu du 12 octobre 2025 de Donald Trump entré en vigueur le 10 octobre à midi, n’est qu’un leurre. Les exécutions exclusivement israéliennes prolongent le génocide que le monde feint d’ignorer. Bilan : 350 à 360 Palestiniens assassinés depuis le 10 octobre, des centaines mutilés et un blocus qui étrangle 2,3 millions de civils.

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https://lanation.net/2025/12/le-cessez-le-feu-sous-le-feu-le-genocide-continue-a-gaza/

Ce « cessez-le-feu » n’est pas fragile ; il est une farce macabre, un alibi pour l’exterminateur israélien.

D’autre part :

Eurovision : le gagnant de l'édition 2024 décide de rendre son trophée pour dénoncer la participation d'Israël au concours

L'artiste suisse rappelle que l'ONU qualifie la situation à Gaza de "génocide" et rappelle son attachement aux "valeurs que nous célébrons sur scène".

L'artiste Nemo, le gagnant suisse de l'édition 2024 de l'Eurovision, annonce jeudi 11 décembre sur Instagram qu'il rend son trophée à l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) après sa décision d'autoriser Israël à participer à l'édition 2026 du concours. Plusieurs pays dont l'Espagne, les Pays-Bas, l'Irlande et la Slovénie, ont immédiatement annoncé qu'ils ne participeront pas au concours.

"Cette décision découle de mon attachement aux valeurs défendues par l'Eurovision", écrit l'artiste qui assure ne plus se sentir en accord avec les décisions de l'UER. Il dénonce la participation d'Israël alors que "la Commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies a qualifié de génocide" la situation à Gaza. "Le concours a été utilisé à plusieurs reprises pour adoucir l'image d'un État accusé de graves fautes", déplore Nemo. "Si les valeurs que nous célébrons sur scène ne sont pas poursuivies en dehors de la scène, alors même les plus belles chansons perdent leur sens", ajoute-t-il.

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