" Sur un plan psychopathologique, le manque d'empathie est défini par le DSM-5, le manuel diagnostique de référence des troubles mentaux et psychiatriques, comme le fait d'être "froid ou insouciant" et de ne pas se sentir "concerné par les sentiments d'autrui" ni "par les effets de ses actions". Il est un des éléments qui caractérisent un trouble des conduites (le fait de multiplier les actes "dans lequel sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui"), une personnalité narcissique ou antisociale. "
La psychorigidité autoritaire semble caractériser abondamment l’action politique et son discours comme ses conséquences :
Répression des gilets jaunes, des écologistes, régression sociale, augmentation de la misère et des inégalités, banalisation de la gestion violente dans le management. racisme, réformes autoritaires et substitution du rapport de forces au débat, mépris du droit international, stigmatisation de groupes de populations, soutien à des politiques criminels, meurtres de masses, génocide, rhétorique cynique et mensongère, violences faîtes aux femmes, aux personnes âgées, aux nouveaux-nés, soutien aux pollueurs et destructeurs de la planète, ... etc.
Sans parler de la superficialité du traitement des drames qui se limite à les relativiser par une communication faîte d’effet d’annonces éphémères et sans lendemain (y compris en matière législative).
L’exemple que donnent les politiques au pouvoir et que diffusent les médias du patronnat n’est pas sans conséquence.
Il n’y a peut-être pas à s’interroger que sur les jeux vidéos et les réseaux sociaux.