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Netanyahu : portrait d'un criminel de guerre

Benjamin Netanyahu incarne l'extrême droitisation d'une société israélienne. De son enfance aux US, élevé par un père admirateur de Mussolini, au massacre de Gaza en passant par l’assassinat de Rabin, les idées de Netanyahu sont devenues majoritaires. Mensonges historiques, apartheid, crimes de guerre et génocide à l'encontre des Palestiniens.

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https://www.blast-info.fr/emissions/2024/netanyahu-portrait-dun-criminel-de-guerre-partie-1-2-NX-z7UPtRDW7aMD1zIzDKQ

A cela s'ajoute que Netanyahou n'hésite pas par à faire du révisionnisme voire du négationnisme pour justifier son racisme et ses crimes :

Le dérapage de Benjamin Netanyahou sur Hitler et les Juifs

Lors du 37e congrès sioniste, le Premier ministre israélien a déclaré qu’« Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs ». Il s’est tout de suite défendu.

Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, a fait un discours pour le moins étonnant à l’occasion du 37e congrès sioniste, qui a eu lieu le 20 octobre dernier à Jérusalem. Devant l’assemblée, il a déclaré que « Hitler ne voulait pas exterminer les Juifs d’Europe à l’époque, il voulait les expulser ». (...)

Le Soir - Par Camille Tang Quynh et Camille Tang Quynh avec AFP Publié le 21/10/2015

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Prolonger :

1 - La barbarie technologique s'ajoute au meurtre de masse industriel : Guerre à Gaza : l'IA au service des frappes israéliennes

2 - Pour comprendre les ressorts de la criminalité du politique - ce que fut Nuremberg - et de bureau - celle des hauts fonctionnaires - qui contribuent au génocide de Gaza :

" Génocidaire(s) - Au coeur de la justice internationale pénale " Par Damien Scalia, professeur à l'Université libre de Bruxelles, Editions Dalloz 08/12/2022

Tout semble avoir été dit sur ces procès et tout a été entendu, à l’exception d’une voix : celle des génocidaires

  • Un ouvrage qui s’inscrit en plein dans l’actualité du conflit Russe-Ukraine
  • La réalité vécue des justiciables confrontée aux postulats et aux objectifs de cette justice
  • Une réflexion amenant à reconsidérer la place du droit pénal dans la reconstruction des sociétés brisées par la guerre
  • Une analyse des difficultés, des échecs et des apories de la justice internationale pénale à travers l’expérience des personnes qui y sont jugées

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