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Netanyahou persiste à nier ses crimes à l’Onu, devant une salle vide
Le Premier ministre israélien a rejeté les accusations de « génocide » à Gaza et il a denoncé les pays qui ont reconnu la Palestine, sous les applaudissements de ses partisans qu’il a invités dans le public et sous les huées de délégations quittant en masse la salle. Il a osé affirmer mensongèrement nourrir les Palestiniens, éviter les victimes civiles et ne pas affamer la population.
Par écran interposé, les mots ne perdent rien de leur force. Privé de visa pour participer en personne au grand rassemblement annuel des chefs d’État à New York, le président palestinien a accusé Israël, dans un message vidéo diffusé jeudi à l’Assemblée générale de l’ONU, d’être responsable d’« un des chapitres les plus atroces » de l'histoire humaine.
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