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Emmanuel Macron ne protège pas les 42 bateaux de la flotille pour la Paix
La flottille au secours de la population de Gaza que massacre Israël a fait l'objet d'attaques terroristes et de de piraterie. L'Italie et l'Espagne ont dépêché des navires militaires pour la protéger. Le président Macron est interpelé sur son abstention paradoxale à porter au secours et protéger cette flottille après sa reconnaissance de la Palestine devant l'assemblée générale de l'ONU.
La Convention des Nations Unies sur le droit de la mer de 1982 (CNUDM), ou Convention de Montego Bay, définit la piraterie et impose aux États une obligation de coopération pour sa répression en haute mer ou dans les zones internationales, en dehors de la juridiction d'un État.
L'article 101 de cette convention établit les conditions de la piraterie (acte illicite, fins privées, haute mer)