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L'EAU DE LÀ !
Quelle course à son œuvre nous y plonge Tout-Poussés de destinée ?
Et ce n'est pas faute de Combativité sur les Eaux,
Qu'elle nous y jette coûte que coûte.
La Ferraille en mer que nous promet la Marchande de Charbon,
Nous vaut au centuple les âpres Batailles que nous livrons aussi sur la Terre-Ferme.
Le chant des récifs comme un plancher déclouté des profonds n'est pas celui du Requiem,
Il encourage notre Attaque du monde par les cornes de la vie,
Corne des brumes de surface, corne d'abondances des jours de fêtes,
Et Victoire sur la mer, comme une fiancée qui parfois nous choisit...
Nous sommes le tumulte de nous-mêmes dans l'agitation des Eaux,
Nos frères et sœurs se Déragent d'écume dans la cardio-foudroyance de l'effort,
Et les coups pleuvent pour bon-coeur dès l'épreuve de la naissance,
Dès la naissance de l'épreuve,
Dèklavi kassélézo.
L'Armada du courage fonce "ventre à terre" en direction d'un indomptable rivage,
Les "Gros-Mordants" traversent tout cela en élu.e.s d'océanique puissance,
Tout en vitesse oxygénée de gloire solitaire.
Ainsi demeurent ils les seuls maîtres capables,
De Repousser la Dentition des courants,
Pour aborder à pieds secs,
Le rivage des Grands Fauves.