La tonalité générale des nombreux messages reçus est
"Bonne nouvelle mais quel gâchis!"
Comme c'est vrai et dramatique.
Ce qui me surprend aujourd'hui, c'est
- certains silences d'organisations, de mouvements, de personnalités... comme si cette victoire était gênante. Je n'oublie pas que certains hauts responsables ont détourné les yeux et que quelques autres ont déclaré que je m'étais engagé dans un "mauvais combat" en me battant pour Jacques Risso
- le traitement de l'information dans certains médias "bien sages". On se garde de rappeler que Jacques Risso est un caricaturiste qui dérange. On se garde très soigneusement de décrire, les erreurs, les abus de pouvoir, les comportements scandaleux de certains hiérarques. On en reste à une évocation strictement administrative plate, relativisant ainsi les responsabilités
Ce qui ne me surprend pas, c'est
- l'absence d'excuses des coupables
- l'absence de sanctions à certains niveaux, à tel petit chef de continuer à afficher son arrogance, à tel autre , sa suffisance, à telle autre d'aller dissimuler son incompétence sous d'autres cieux
- l'absence de mesures claires, de réformes, pour éviter de tels scandales
Il faut pourtant crier, dénoncer, protester, s'indigner... ne serait-ce que pour tenter d'éviter que la machine éducation nationale continue à écraser des hommes.
Si personne ne le fait, nous le ferons. Inlassablement. Envers et contre tous les conformismes, les lâchetés et la bêtise.