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Billet de blog 2 septembre 2011

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WTC : la version officielle ne connaît pas l'heure exacte des impacts aériens... pourquoi ?

 

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Question très simple : connaissons nous l'heure exacte à la seconde près des impacts aériens ?

Le 11 Septembre 2001, trois avions ont impacté en moins d'une seconde de grands bâtiments américains.

Tout expert vous dirait qu'il n'y a aucun problème pour cela... les radars aériens, les enregistrements électriques, les vidéos surveillances, les compteurs divers de réseau d'eau, de gaz, de réseau informatique, les coupures des communications téléphoniques etc... sont là. C'est un jeu d'enfant pour un tel événement aux multiples conséquences. Un jeu d'enfant !

Et bien non... il n'y a pas de datation officielle précise ! Etonnant non !

Aucun des grands noms scientifiques qui soutient la thèse officielle ne semble être gêné par cette faille insolite de l'enquête !

10 ans après les événements, malgré des millions de dollars versés pour les enquêtes, les victimes ne sauront pas à quelle heure précise chacun des avions a impacté sa tour (WTC1, WTC2 et le Pentagone). Pour certains des rescapés de cet enfer, la survie a joué à une seconde près... mais pour les enquêteurs officiels et pour tous ceux qui cautionnent leur travail depuis 2001... l'heure précise de ces événements à moins d'une seconde près n'importe pas, pire, elle dérange !

Les rapports officiels comme celui du NIST arrivent au mieux à des imprécisions de 10 sec entre différentes datations (radars, vidéos). Pour le Pentagone, on en est encore à la minute. Pour l'écrasement du boeing à Shanksville en Pennsylavnie, il existe deux versions horaires espacées de plusieurs minutes.

Etrange non...!?

Faute d'avoir toutes les données techniques pré-citées qui apparemment ne semblent pas intéresser ces experts officiels américains, il existe heureusement une série qui a réussi à échapper à la censure générale et aux mises au secret défense : les enregistrements sismiques civils.

Et heureusement pour nous, les sismologues américains du LDEO (Lamont-Doherty Earth Observatory) dépendant de l'Université de Columbia sont parvenus à un travail minimal (Rapport LDEO 9-11) permettant d'avoir des datations à 1 sec près pour les deux impacts aux WTC.

Ces datations sismiques sont incompatibles avec celles des radars aériens et sont antérieures de plus de 9 sec !

Les rapports officiels du NIST et de la Commission d'enquête ont été incapables de l'expliquer. Plus fort encore... en 2005, le NIST a même mentionné, sans la montrer dans aucune publication, une fausse déclaration du LDEO décalant arbitrairement ses datations sismiques en augmentant les imprécisions sismiques pour faire coïncider les marges sur les dates vidéo des impacts avec les datations sismologiques. Cette arnaque du NIST est heureusement toujours démentie par les informations sismiques du Site internet du LDEO qui confirme toujours des datations incompatibles avec le NIST.

En fait chaque impact d'avion a été précédé plusieurs secondes avant par un événement sismique qui n'a aucun lien direct avec ces impacts. Le chercheur du CNRS André Rousseau a confirmé et détaillé en mars 2010 toutes ces découvertes gardées sous silence par les autorités américaines (Article André Rousseau)

Bizarrement, c'est l'impact de l'avion dans le Pentagone, ayant pourtant le meilleur couplage au sol qui a eu les effets sismiques les plus faibles. Les auteurs du rapport du LDEO le confirment dans le document de Kim Won-Young du LDEO 911Pentagon.pdf

La base de données WTC-AZF permet d'accéder à une jolie collection de sismogrammes du 11 Septembre 2001 dont une série issue de sismographes privés du New-Jersey (EBNJ et HPNJ) ayant repéré les périodes des effondrements des tours.

Tout est là pour identifier des événements générant des effets sismiques importants quelques secondes avant les impacts d'avions. Bien entendu, de tels effets sismiques n'ont pu être engendrés que par des phénomènes impulsionnels puissants au niveau du sol et des sous-sols des bâtiments. La thèse des explosions contrôlées a une de ces meilleures preuves dans ces traçages sismiques précurseurs.

On pourrait même exiger l'ensemble des sismogrammes militaires de sismographes encore plus près du WTC que la station civile de Palisades située à 34 km (PAL).... tiens aucun officiel ne l'a fait ! D'autres sismogrammes privés circulent encore et seraient exploitables. Et pour les effondrements des tours, on a le même type de signaux sismiques et toujours quelques secondes avant l'impact final des chutes.

Tout peut être caractérisé à la seconde près... avec les données électriques on peut obtenir les datations de début des impacts au 1/100ème de sec près.

Feindre d'ignorer tout cela c'est protéger les vrais coupables et participer à une stratégie honteuse d'aveuglement qui dure depuis 10 ans. C'est aussi mépriser les familles de victimes désireuses de comprendre.

Les media institutionnels français n'ont rien fait depuis 10 ans pour exiger des autorités américaines beaucoup plus de sérieux. Pire... ils laissent croire que seuls des artistes comme JM Bigard et M Kassowitz participent aux contreverses alors que la toile internet déborde d'informations en souffrance et attend une vraie enquête, digne de la soi-disante plus puissante démocratie du monde.

10 ans d'omerta pour 1 seconde de vérité... est-ce vraiment inévitable ?

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