La Syrie confirme avoir abattu un avion de combat turc
Publié le 2012-06-23 French. News. Cn
DAMAS, 22 juin (Xinhua) -- Un avion de chasse turc avait pénétré dans l'espace aérien de la Syrie plus tôt vendredi et avait été abattu par l'armée syrienne, a déclaré un porte-parole de l'armée syrienne, ajoutant que l'appareil a été traité conformément aux lois applicables.
Dans un communiqué diffusé par les télévisions syriennes, le porte-parole, qui a requis l'anonymat, a annoncé vers 11h40 vendredi qu'"un objet non-identifiée" avait pénétré dans l'espace aérien syrien au large des côtes syriennes à basse altitude et à très grande vitesse.
La défense anti-aérienne syrienne a ouvert le feu quand l'objet était à 1 kilomètre au large des côtes, a déclaré le porte-parole, ajoutant que l'objet a pris feu et s'est écrasé dans les eaux territoriales syriennes à environ 10 kilomètres des côtes syriennes.
"Plus tard, on a confirmé que l'objet était un avion de combat turc qui avait pénétré dans notre espace aérien et il avait été traité conformément aux lois applicables", a précisé le porte-parole.
Il a ajouté que la coordination avec les forces turques était en cours pour retrouver les deux pilotes de l'avion abattu et que les forces turques ont envoyé des hélicoptères afin de localiser l'endroit où les pilotes étaient portés disparus.
Selon les médias, trois navires syriens ont participé à la recherche pour retrouver les pilotes.
Depuis des tags d'enfants sur les murs d'un village du sud de la Syrie jusqu'à, s'il était avéré, l'acte de guerre à l'encontre du régime de Damas de la part de son puissant et très démocratique voisin Turc qui, on le sait, se soucie du bien-être des populations et minoritaires et oppressées - l'excellent blog de Maxime-Azadi, Au-delà de l'information - beaucoup, un peu au tout début, un peu de sang - quelques ecchymoses, bleus, taches brunes de la maltraitance, institutionnalisée et, ou, instrumentalisée, et puis les flaques rouges, brunes oxydées, des quelques premières vies perdues de citoyens et d'enfants du peuple de Syrie - au tout début, puis, continuel crescendo dans cette sinistre partition, davantage et maintenant - les petits ruisseaux faisant les grands fleuves - beaucoup de sang a coulé et coule, encore régulièrement, bu par ce désert sur lequel ne fleurissent plus, dorénavant, que les fleurs de toutes les haines-mêlées dans un très vieux pays, on ne peut plus sourcilleux quant à son indépendance, où du moins certaines n'avaient, jusque là, quasiment, jamais vu le jour, beaucoup de sang, donc, tant et tant, tant et plus, et jamais assez, pour qu'à chaque fois, ce ne soit, définitivement, la dernière, de trop, sang, huile nécessaire en quantité jamais visiblement suffisante des rouages complexes de cette machinerie qui s'édifie au nom de tout ce que tout un chacun des multiples protagonistes entend et prétend défendre et, ou, imposer.
Imposer à un peuple, qui dans sa majorité ... Chemin a été parcouru, composition ensanglantée où chacun appose sa touche au tableau dont personne, ni aucun ne sait, ne peut plus, à aucun moment, se permettre de suspendre son geste, et, de marquer le temps d'arrêt salvateur propice à la recherche d'une solution pacifique, et, un tant soit peu, équilibrée et intelligente.
Mais, n'est-ce-pas que les dynamiques commerciales couplées aux stratégies financières des grands états sur-consommateurs voulant parer, à tout prix, tout risque à venir d'asphyxie énergétique font de l'appropriation forcenée des sources énergétiques sur toute la planète, qu'ils se partagent, pour l'instant, sans coup férir, du moins directement, comme des billets récents le pointent au sujet de la Grèce, leur unique visée, leur seul but, le but ultime et l'obsession dernière et globale de la machine à penser la géo-politique et les stratégies internationales, sous-tendus, aidés en cela, par la redoutable efficacité de ce cynique travail de sape qui réduit à néant toute velléité, de la part des états-nations-victimes, rackettées, spoliées de bientôt tout ce qu'on - on, cet honnête homme, pour l'instant, sans défense immédiate et organisée - pensait inaliénable, d'y remédier, par l'effroyable destruction économique, politique et culturelle actuellement en cours sur bien des théâtres de cette guerre économique sans pitié, qu'occasionne le rouleau compresseur de ces Panzerdivisionen - Pz-Div - ces énormes machineries financières et militaires, internationales, directement à leur disposition, ou, indirectement, sous couvert des institutions qui leur sont soumises, dont ils se sont assurés le soutien et l'active et inique collaboration de désinformation tout azimut, et aux buts premiers largement dévoyés, n'est-ce-pas que tout ça ne peut attendre, que tout ça n'attendra pas, que le geste ne sera pas suspendu, que la touche sera encore portée, que touche il y aura, encore et longtemps, de la part de tous, de tous ensemble, pour parfaire irréductiblement jusqu'à sa touche finale, jusqu'à l'irréparable de son accomplissement dernier.