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Aux abords des rencontres internationales de football, des bandes de hooligans interviennent. Parmi eux, des Russes portant des tatouages, au crâne rasé et à l’allure paramilitaire.

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En septembre 2014, le drapeau de la République populaire de Donetsk et une affiche en russe « Lève-toi, Donbass ! » ont été brandis au stade de Bilbao lors du match de la Ligue des champions qui a opposé le club basque et Shakhtar de Donetsk. La presse russe a affirmé que des Basques tenaient la banderole écrite en lettres cyrilliques.

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On a aperçu également les drapeaux soviétique, russe et de la république autoproclamée de Donetsk ainsi que le ruban de St-Georges, décoration militaire russe, et des inscriptions des milices du Donbass.

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Cette propagande a été reprise également par la quasi-totalité des médias, du monde politique, syndical, et de jeunesse basque. Des volontaires sont allés se battre au côté des « antifascistes » ou « indépendantistes » du Donbass. Un examen quelque peu attentif de la situation démontre que ces qualificatifs sont totalement inappropriés, puisque ces mêmes rangs se composaient de combattants de la « Légion impériale russe » et de l’« Unité nationale russe », organisations fascistes russes.

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Cette agitation du monde du football par les services secrets russes ne concerne pas que le Pays basque, mais aussi la Russie, Serbie, Suède et dernièrement l’Allemagne lors du match Francfort — Shakhtar Donetsk.

Football, clubs de combat « Systèma », indépendantistes, antifascistes, impérialistes, skinhead, Gilets jaunes (je les ai vus et photographiés), monde des affaires, etc.

La liste des associations, mouvances que s’efforcent de pénétrer les services secrets russes en Occident, est interminable. Pourquoi donc les médias et partis politiques restent-ils silencieux ? Réponse : Parce qu’ils sont eux aussi infiltrés, au plus haut niveau en France avec Alexandre Benalla, taupe russe à l’Élysée.