La représentation du journal « Berria » au Petit Bayonne est une antenne du renseignement militaire russe : GRU.
La mouvance nationaliste basque s’est mobilisée pour faire libérer le « journaliste » Pablo Gonzalez, arrêté en Pologne et accusé d’espionnage pour le compte de la Russie. Poutine a fait libérer Pablo Gonzalez par un échange de prisonniers politiques russes et d’otages étrangers. Tout d’abord, clarifions les choses : Poutine ne libère pas les journalistes, il les incarcère et les tue. Poutine a fait libérer ses agents, dont Pablo Gonzalez, ainsi que les autres criminels, à bord de l’avion qui le ramenait en Russie. Parmi eux se trouve Vadim Krasikov, un tueur en série condamné à la prison à perpétuité en Allemagne. Au moment où l’avion atterrissait, Poutine se tenait prêt pour accueillir ses agents. Il a d’abord étreint Vadim Krasikov, puis a tendu la main à Pablo Gonzalez.
Oleg Sotnikov attendait aussi Pablo Gonzalez à l’aéroport. C’est son supérieur hiérarchique. Il est responsable de la logistique des agents secrets illégaux du GRU. Il occupe le poste de directeur de la cinquième division du service de renseignement de l’état-major des forces armées russes.

En 2023, Pablo Gonzalez Rubtsov et sa mère Tatyana Dobrenko sont révélés comme étant des agents du GRU : le service de renseignement militaire russe. L’adresse d’enregistrement de cette dernière à Moscou (obligatoire selon la loi russe) est « 76 Khorochevskoe chaussée », soit le siège même du GRU. Le fonctionnaire du service des passeports n’a pas eu besoin de réfléchir : il a simplement indiqué l’adresse du GRU. Pour réduire le nombre de déplacements entre son propre bureau et celui gérant les passeports, il regroupe les demandes et les remet en une seule fois. Grâce à cette méthode, les passeports des employés du GRU partagent désormais la même série de numéros (6 543 413** et 6 465 187**). Les deux passeports utilisés par Pablo Gonzalez pour traverser la frontière font partie d’une série identique à celle d’au moins 15 autres agents du GRU (source : The Insider).
- Boshirov et Petrov (Chepiga et Mishkin), qui ont perpétré une attaque chimique contre le réfugié Sergueï Skripal en Grande-Bretagne,
- ceux qui ont participé au coup d’État au Monténégro,
- ceux qui ont pris part à l’empoisonnement de Yemelyan Gebrev en Bulgarie,
- les responsables d’attaques informatiques de type « pirate »,
- et ceux qui ont commis des attentats contre des entrepôts militaires en République tchèque.

Agrandissement : Illustration 3

Le mouvement nationaliste basque s’est uni pour faire libérer l’agent du GRU, Pablo Gonzalez. À sa tête, on trouve Martxelo Otamendi, du journal Berria. En tant que lecteur du journal Berria, j’ai résilié mon abonnement en 2014, car je suis conscient de la propagande russe en russe et je n’ai pas besoin d’une traduction en basque. Les journalistes de Berria, ainsi que la publication elle-même, sous la direction de Martxelo Otamendi, sont des propagandistes de Poutine.
Le Judas basque a trahi les minorités ethniques de l’espace euroasiatique. Il est un mercenaire hybride de l’impérialisme russe, cherchant à tirer profit des conflits expansionnistes moscovites et de la déstabilisation de l’Occident.
Quand il a serré la main du dictateur et criminel de guerre Poutine, Pablo Gonzalez portait ce message sur son maillot : « Your empire needs you. » L’empire russe a besoin de la mouvance nationaliste basque.

Agrandissement : Illustration 4

Écoutez ce que vous dit Pierre Haffner, même si cela vous déplaît. Que ce soit au sujet de l’introduction du faussaire Alexey Luchnikov par la conseillère Elena Kutuzova à la mairie de Biarritz, ou de la manipulation de la mouvance nationaliste basque par le GRU. N’oubliez surtout pas : il vous dit la stricte réalité. Si vous choisissez de mépriser ses dires, c’est votre propre avenir qui en pâtira.)
La France est toujours en retard d'une guerre.