La fermeté officiellement affichée par l’Élysée, “on ne négocie pas avec les terroristes”, devient courtoisie zélée envers le terrorisme nucléaire de Poutine. Merkel et Hollande, s’envolant pour Moscou, ont brisé l’isolation diplomatique du dictateur. Interdire à l’Ukraine de recevoir les armements US indispensables à sa défense. Tel était leur but. Ils ont agi sous la menace nucléaire de Poutine confirmée par une mise en scène de vols fréquents de bombardiers stratégiques prés de nos cotes et l’apparition furtive de sous-marins dans les eaux territoriales de la Baltique. Cette reculade a conforté le Dictateur d’ aller plus loin. Dernièrement, les lances missiles russes Iskander ont été installés dans la région de Kaliningrad, menaçant ainsi toute l’Europe orientale.
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