Cette gentilhommière, remarquable par son clocheton d’ardoise, été achetée avec de l’argent volé par Vladimir Poutine, en personne, à la population affamée de Saint-Pétersbourg au début des années 1990.
Prompt à servir le criminel de guerre Vladimir Poutine installé au Kremlin, l’Élysée a pris la décision en une nuit d’évacuer les activistes qui occupaient cette villa pour y loger femmes et enfants ukrainiens qui fuient leur pays bombardé par l’armée russe.
Les liens d’intérêts de la mafia russo-biarrote sont plus forts que la justice.
Les journalistes locaux, sans exception, ont été contraints enfin de parler de ce château, mais ils taisent toujours son secret de polichinelle : « La demeure a été achetée avec de l’argent volé odieusement par Poutine ».
Pierre Haffner