« DRG » est un terme utilisé par les services de renseignement soviétiques et russes. Il signifie « groupe de sabotage et de reconnaissance », composé d’agents opérant derrière les lignes ennemies pour collecter des informations et mener des actions de diversion. La diaspora russe en Occident, qui compte des millions d’individus, constitue une réserve importante de recrutement pour les opérations hybrides actuelles. Cette population comprend des aventuriers opportunistes prêts à tout pour survivre dans un pays étranger. Il est impossible de vérifier leurs antécédents, ce qui leur permet de se vanter de n’importe quelle histoire. On les appelle « émigration saucisson » pour les différencier de l’émigration politique et intellectuelle, apparue après l’effondrement de l’Union soviétique.
Comment identifier ceux recrutés par les services d’influence russe en France ? C’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Dans le passé, les services secrets français ont échoué à empêcher l’enlèvement des généraux blancs Miller et Koutepov par les Soviétiques. Il est crucial de contrer ces attaques hybrides sur notre propre territoire.
DRG : groupe de sabotage et de reconnaissance en France.
Voici trois exemples d’opérations hybrides russes en France.
- Cinq cercueils ont été déposés au pied de la tour Eiffel pour symboliser les soldats français morts en cas d’intervention militaire en Ukraine.
- Des mains rouges apposées sur le Mur des Justes.
- L’agent du FSB Alexey Luchnikov à la mairie de Biarritz.

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Deux événements ont été attribués aux services secrets russes : des cercueils devant la tour Eiffel et des mains ensanglantées au Monument de la Shoah. Ces informations ont été relayées par la presse. Le troisième événement a eu lieu à Biarritz. Il a fait l’objet d’un retrait des photos et de publications d’Alexey Luchnikov et d’Elena Kutuzova Bidegain.

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Le 26 avril 2022, j’ai été convoqué au commissariat de Biarritz pour répondre à une plainte en diffamation déposée contre moi par Elena Kutuzova Bidegain, conseillère municipale. Le procureur a classé l’affaire. Les accusations se sont avérées être des calomnies.
Lors de l’interrogatoire, une conseillère municipale française m’a accusé d’être « antirusse ». C’est absurde pour un citoyen français comme moi. Elle devrait plutôt se présenter aux élections russes si elle veut défendre son pays. Moi, je suis « anti-Poutine », pas « antirusse ».

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Madame Kutuzova Bidegain m’accuse d’avoir mis en danger sa vie et celle de ses enfants, ce que je conteste. Je n’ai jamais menacé personne, y compris elle et ses enfants, dont je ne connaissais pas l’existence. Jusqu’à présent, l’interrogatoire n’a concerné que deux personnes : mon accusatrice et moi. Il aurait dû s’arrêter là, mais il y a eu une suite inattendue. Madame Kutuzova Bidegain a également accusé trois réfugiés politiques russes de Biarritz. J’ai dit que ces trois personnes étaient pacifiques et incapables des actes reprochés par l’accusatrice.
Qui sont-ils ?

Vladimir Ossetchkine, administrateur de Gulagu.net, est menacé de mort par le chef du groupe terroriste WAGNER. Pour assurer sa sécurité et celle de sa famille, des mesures policières ont été prises en France.

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Serguey Saveliev est un informaticien qui a passé sept ans dans une prison russe. Il a réussi à subtiliser au Service pénitentiaire russe (FSIN de Russie) des centaines de giga-octets d’enregistrements de vidéo de torture. Il s’est réfugié à Biarritz. Ces témoignages sur l’univers carcéral russe sont publiés sur le site Gulagu.net.

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Denis Pshenichny. Son père, un scientifique russe, est mort sous la torture dans la prison n° 4 du FSB à Saint-Pétersbourg. N.B. Alexey Luchnikov, présenté en mairie par Elena Kutuzova Bidegain, est un agent du FSB de la même ville. Le corps de Valery Pshenichny, avec des fractures et des brûlures, a été rendu à sa famille dans un état effrayant. Une autopsie a révélé du sperme de deux hommes dans son rectum. L'ADN démontre qu'il ne s'agit pas de celui de codétenus. Il est mort par strangulation, non par pendaison. En Russie, personne n’a été poursuivi pour ce crime abominable. Denis Pshenichny et sa mère sont à Biarritz. Denis collabore avec Vladimir Ossetchkine sur le site Gulagu.net.
En avril 2022, Serguey Saveliev et Denis Pshenichny ignoraient l’existence de Madame Kutuzova Bidegain et de ses enfants. Comment ont-ils pu menacer leur vie ? Vladimir Ossetchkine était « ami » sur les pages Facebook d’Elena Kutuzova Bidegain, alias « Elena Btz ». Pourquoi restait-elle en contact avec quelqu’un qui mettait sa vie et celle de ses enfants en danger ?
Vladimir Ossetchkine, Sergey Saveliev et Denis Pshenichny sont membres de l’organisation « Nouveaux Dissidents Fondation ». Des mandats d’arrêt ont été émis à leur encontre en Russie et les services de renseignement russes les traquent en France, jusqu’à Biarritz où Vladimir Ossetchkine a subi une tentative d’assassinat.

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La plainte calomnieuse de Madame Elena Kutuzova Bidegain contre ces trois réfugiés russes et moi-même vise à détourner l’attention des autorités françaises et à servir les intérêts de la Russie. Ces actes peuvent être considérés comme « sabotage » et passibles du Code pénal.

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Alexey Luchnikov, homme qu’Elena Kutuzova Bidegain connaît très bien et qu’elle a présenté en mairie de Biarritz, dirige une association internationale de malfaiteurs qui commercialise de fausses œuvres d’art. Il a servi sur la base militaire du FSB à Grozny.

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À l’occasion du G7 de Biarritz, Alexey Luchnikov a hébergé le renseignement russe dirigé par son meilleur ami, Alexandre Malkevitch, activiste de l’organisation terroriste WAGNER. En tant que Russe, Elena Kutuzova risque la prison à vie pour trahison si elle s’exprime contre Alexey Luchnikov, conformément à l’article 275 du Code pénal de Fédération de Russie.

Lors du dernier échange d’espions, les Russes ayant gardé le silence ont été accueillis au pied de l’avion par Poutine, une garde d’honneur et les chefs du renseignement russe. « La Russie n’abandonne pas les siens », mais exige leur loyauté