Il avait promis... "Avec ou sans MITTAL, l'Etat investira à Gandrange".
Résultat : 595 licenciés.
Dans quelles conditions prendront-ils leurs retraites ces 595 là ?
Et les Contis, et tous les autres victimes de plans sociaux ?
Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy de Nagy Bosca, nous fait la leçon "Il est de mon devoir de réformer, si on veut pouvoir continuer à verser les pensions de retraite... Surtout les petites pensions"... Du violon condescendant à deux balles !
S'il réforme comme il promet alors, c'est bien de "Sarko l'escroc" dont il s'agit :
L'ex avocat fiscaliste ploutocrate autoproclamé lors de la nuit du Fouquet's organise le rapport de force avec les syndicats en prenant l'opinion à témoin pour apparaître comme le grand réformateur dont la France avait besoin depuis si longtemps, la négociation n'est pas possible. Voila où se trouve la rupture qui lui est si chère : dans le mépris du peuple. Alors, il n'y a plus qu'un seul mot d'ordre : "Sarko, casse toi !"