Qui se rappelle..., pour ceux et celles s’intéressant à certaines des idées et certains des écrits les échangeant ici.., et qui contribuent à nos partages..., d'un billet que j'avais intitulé "CQFD...?"...? Il se voulait critique. Notons que ce que je vais raconter n'est pas arrivé qu'à moi. Alors, certes, sa critique était acerbe..., peut être insultantes pour certains et certaines personnes, experts-es, diverses sensibilités travaillant dans la communication, la fabrique de sondage, et aussi la politique comme les médias. Et en l’occurrence c'était le cas puisque le titre et le sujet du billet était dirigé contre une émission de I TÉLÉ se nommant justement "CQFD", qui mélange et amalgame tout ça. Pour autant c'est la question de la liberté d'expression qui est posée ici..., dans cette disparition, censure (?). C'est ce qui est pourtant arrivé à ce billet, il a purement disparu d'un référencement Google.
Même s'il peut être reproché d'avoir emprunté le titre de l'émission..., qui n'est pas non plus une marque déposée qu'on sache...(?), quand mon titre s'en différencie par une ponctuation et interrogation ouvrant à une autre interprétation que celle de l'émission, il n'existe pas de raison de parler de plagiat, ou d'argumenter autour de ce thème. Mais bien sur cette différence dans sa subtilité se voit, se lit..., quand à l'orale elle ne se distinct que peu ou prou. C'est bien dans l'ère du simplisme caricaturale de la com., qui se veut être un copié colle des temps de paroles télégéniques des politiques, des experts-es, journalistes, etc.. Quand à cette notion de "marque déposée", qu'on peut aussi décrire comme une forme de propriété intellectuelle, si nous pourrons bientôt plus écrire et prononcer un seul mot parce qu'il aura été prononcé et écrit par d'autres avant vous (à la notoriété soit-disant "supérieure" à la votre, pour autant plus légitime...?) n'est-ce pas débile de passer plus de temps à chercher qui à dit quoi, quand, ou..., pour référencer ses propos, respecter un droit d'auteur ambigu, exprimer une idée avec des "mots non déposés", plutôt qu'à passer ce temps à la réflexion et à la recherche quelque part scientifique ...? Est-il encore possible de critiquer la presse, les sondages et leur personnels responsables, les politiques, avec un vocabulaire commun ou autres sans en référer à d'autres...?
Et, en ce jour..., cherchant à savoir quel référencement ont ces partages "gratuits" et désintéressés financièrement ( bonne poire que je suis et nous sommes n'est-ce pas...?)..., sur un moteur de recherche nommé Google..., quelle fut ma surprise de constater que ce billet cité en introduction n'existait plus du tout. Sur ce moteur de recherche, et peut être d'autres (?)..., il m'est et certainement vous est plus possible d'accéder à ce billet..., comme d'autres d'ailleurs. Parce qu'il est en l'état de son simple intitulé inexistant..., quand il était avant. Comme celui ci aussi "La face cachée des spots publicitaires de nos télévisions" qui en accès direct (en tapant le titre sans autre référence comme blog de..., Mediapart, etc) est introuvable en accès à ce site, ou l'est seulement avec la mention supplémentaire de Mediapart vous faisant alors tomber sur la page de la Une du "Club" du 29 février 2012, date de sa publication. Ce même billet connu bien d'autres déboires, comme il donna accès à un site internet de films vidéos sans qu'il m'en soit demandé la permission, et autres explications..., par exemple. C'est autant regrettable que cette liberté de parole que ce billet "CQFD...?" se permet, n'est ni invectivant envers des personnes physiques (quand ce sont les personnes morales qui sont donc visées), ni tant révélateur, voir plus perturbateur que cela. Il me semble en tout cas. Il se veut et se voulait être une simple réflexion citoyenne, voulant prendre du champ, sur cette forme devenue commune de communication s'appuyant que sur des sondages, dans un contexte de crise dramatique en Syrie et de l'affichage de "va-t-en guerre" d'un chef d’État et d'une famille politique au gouverne, ce tout amalgamé dans l’émission en question, sous des clichés imbéciles, réducteurs et d'une représentation simpliste de l'intelligence citoyenne donnée à entendre. C'est donc encore une fois, juste un droit et un devoir de défendre la liberté de parole, d'opinion, et des supports les partageant, quel-qu’ils soient, qu'il est question ici. D'autant plus quand cet outil est présenté, donné à penser, qu'il serait virtualisé dans son propre contrôle, quand chacun-e sait que c'est l'homme qui programme la machine et pas l'inverse.. Pas encore tout du moins.
C'est à la suite du "bug" des "recommanders" Facebook que connu Mediapart et nous..., - pour des raisons d'entretien du réseaux et de stabilisation (?) de ceux ci apparemment - intervenu ces temps ci..., et à la suite d'échange avec certains-es blogueures-euses ici et ailleurs..., quand nous constations des disparitions tant de ces "recommanders"..., que des dé-référencements de certains billets sur ce moteur de recherche cité précédemment, qu'il m'est venu l'idée d'effectuer cette recherche avec méthode et minutie. Mais comme beaucoup ici..., dans cette méthode une faille est apparente et ne permet pas, comme peut être pour vous aussi ayant comme moi fait aveuglément confiance jusque là à ce site..., , de dater tant les problèmes de dé-référencement en lien à cette exercice de "stabilisation" et d'autres, qu'à d'autres manipulations externes aux réseaux fermés de ce site... Comme dans des manipulations internes à Google, par exemple. C'est à dire que si cette recherche et sa méthode n'est pas hebdomadaire, antérieur à ce dernier "bug", et n'est pas scrupuleusement effectuée - en photographiant (photos d'écrans) article par article, leur place sur ce moteurs de recherche et d'autres et en notant leur place exact (par rapport à celui d'avant et celui d'après) , leur évolutions et autres étrangetés - il devient alors difficile et de prouver qu'il existe une manipulation externe et/ou interne, et donc hors de votre contrôle, ayant créé ce dé-référencement, et sa datation pour pouvoir possiblement et par recoupement essayer d'en retrouver sa source, ses raisons, ses liens avec des travaux de maintenance ou autres.
Il est difficile en étant seul de tout contrôler. A savoir qu'il faut suivre l'actualité et y participer en intervenant par l'élaboration et la création de billets demandant pour certains des longues recherches, du travail gratuit quoi..., et de s’atteler à vérifier l'évolution, le suivie de la vie de ce travail sur les réseaux sociaux, si l'en est une..., sur les moteurs de recherche..., et leur possible impacte, etc...! Seulement c'est aussi en cas d'abandon de ce suivi qu'on peut se retrouver à être plus du tout lisible, visible, audible, "disparaître" des référencements..., si tant est qu'on le cherche et que celle ci soit pertinente pour faire avancer et évoluer le dialogue politique, social, philosophique, culturel, etc...! Mais est-ce que de cela Mediapart en a conscience...? Est-ce que Mediapart protège son intérêt en tant "qu'entité journalistique"..., et participative en annexe...? Ou bien est-ce qu'elle défend aussi l'intérêt des blogueurs-euses contribuant à éclairer la qualité de son travail et sa lisibilité...? Est-ce que nous devons compter que sur nous même...?
Enfin, force est de constater que ces démonstrations de dé-référencement, et autres "disparitions" (pour ne pas dire censure en présumant donc une certaine innocence d'une entité opacifiée) révèlent que de nos divisions et volontés d'avancer un peu la tête dans le guidon, dans nos créations, existent alors une faiblesse qui est révélée par notre incapacité à pouvoir tout contrôler, et maîtriser dans cet outil... Mais est-ce alors aussi de fait un moyen de nous contrôler, nous censurer pour ceux et celles dirigeant cette "entité"...?