Pourrais -je appeler ce billet une introspective sur « mon » état de santé mental, quand je prends enfin le temps..., de me poser ? Je vous en laisse..., non pas juge, quoi que, vous êtes libre n'est ce pas...(?), mais juste plutôt des interlocuteurs-trices..., ou simplement interloqués-es ? Je vous propose de lire ce billet réagissant à certains faits, pour approfondir soit la folie, ou la raison, que je cherche à expliquer. Ce n'est pas que je pose ces questions sur ce petit brin de paranoïa que l'on pourrait me prêter, par compassion, complaisance, suspicion même, etc... Mais cette interrogation vient peut être, et sans prétention aucune, par effet miroir sur l'état d'esprit sociétal, à un instant T, de notre vie, politique, démocratique et autre, qui nous entraîne dans une spirale concentrique. Alors, pour comprendre certains faits d'actualité, pas toujours actualisés honnêtement, je veux faire, à ma manière un état des lieux..., de ce que je ressens, de cette folie qui nous entoure et nous pousse à subir ce que nous devrions plutôt prendre à bras le corps. Voulez vous partager, ce sentiment... ? Si c'est le cas, c'est par analogie, parce que parfois je et vous le valez bien..., que je vous propose de plonger, de voyager par la pensé, dans un certain méandre... !
Tel un gigantesque trou noir aspirant la moindre parcelle d'énergie pure, siphonnant l'ensemble des forces vives maintenant l'unité de notre société, de notre universalité, anéantissant jusqu'aux plus petites lueurs éclairant le firmament de la conscience se voulant être altruiste, nous sombrons de l'horizon des possibles, vers l'annihilation des espérances. Ce nous est sociétal. Il est ce que nous en faisons, où nous le voulons le faire, quand nous nous décidons d'agir et tristement, comment nous le faisons. Il est aussi démocratique, mais, il est malheureusement générationnel.
A commencer par cette matière impalpable, in-quantifiable voir inqualifiable, que certains-nes appellent noir, « dark », c'est sa déstructuration chaotique, sa dérégulation anarchique, qui provoque l’effondrement systémique de ses liaisons interagissantes avec un tout, jusqu'à sa propre existence. Subissant l'effet gravitationnel exceptionnel de cet obscur néant intemporel, ce trou sans fond ni fin, il en a toujours été ainsi d'ailleurs, l'irréparable s'active. Tout en inondant par rayonnement son univers brillant quand à lui, cette force immatérielle obscure, s’annihile sous son propre poids, et délie complètement ce qui n'existerait pas sans elle. Puis, c'est au tour de la matière, la vraie..., celle qui brille malgré l'obscurité..., qui palpite telle des pepites inestimables parfois..., qui battent à l'unissons de leur amour pour la vie dans son ensemble..., qui éblouie par sa beauté, son naturel..., cette matière que certains-es voient comme morte, alors que sans elle..., il ne serait exister ce monde du vivant..., c'est autour de cette substance se régénérant perpétuellement de se désagréger sous l'emprise d'une volonté inhumaine. Elle se délite, se dissout, s'évanouit, au point de ne plus pouvoir subsister en tant qu’évanescence. Nous sommes en train de voir sur nos « petits écrans », nous prémachant un triste spectacle, allant même jusqu'à nous tenir en haleine devant la splendeur de cette époustouflant fraca d'égos..., deux soit disant astres s'auto-détruirent entraînant avec eux leurs systèmes tout entier. Mais l'appétit de ce goinfre insatiable, de cette singularité insaisissable s'amplifie en mangeant. Ébahi et engourdi par la particularité de cette sorte de suspension du temps dans lequel nous sustentons artificiellement, c'est l'effet dislocateur que produit ce trou noir..., qui nous fait percevoir qu'une métaphore de la réalité. Là..., nos consciences se croient tout simplement abusées pour certaines, et désabusées pour d'autres. Mais, pour conclure, j'ai envie de vous demandez, si ce n'est pas justement cette virtualité qui inonde nos vies, dont il faut se méfier ?
Voila... ! J'ai fini mes élucubrations. En espérant vous avoir tant distrait, que laissé peut être perplexe, dans le bon sens du terme bien sur, je vous laisse reprendre le cours normal de votre vie. Si cette expression vous dit quelque chose... ?