La justice continue de poursuivre son "petit bonhomme", comme un avocat de métier..., précédant président de NOTRE RÉPUBLIQUE, tentant de masquer son chemin bien opaque, dans un labyrinthe de traverses procédurales ne cherchant et qu'à faire durer en longueur son "jugement dernier", et qu'à faire jouer l'opinion publique pour influencer ce jugement en se victimisant...! C'est à lire dans ce lien.
Ces procédés politiciens, appliqués par tous les responsables politiques de tous bords sont bien connus maintenant et rendent certains aspects de la politique bien obscure. Faut-il rappeler la bien dramatique histoire d'un bijoutier de Nice pour re-situer le dilemme polémique qui oppose la justice à la politique...? Et les polémiques sont le fond de commerce de la politique, surtout de cette famille politique le soutenant, cet ancien chef d’État, l'ayant porté au pouvoir..., et n'ayant pas comme n'ayant pas eu le courage de le répudier après ses et donc leurs échecs inavoués (inachevés même à en croire certains-es) à gouverner le pays... Parmi ces échecs.., il s'en trouve un qui sanctionné par une autre Cour, législative elle, non des moindres donc, le Conseil Constitutionnel..., a su trouver d'autres chemins qui par les bas fond empruntés, nous laissent en travers de la conscience un fumée nauséeux, en voulant faire payer à tous et toutes les Français et Françaises la fraude manifeste d'un financement de campagne électorale présidentielle de 2012. C'est par la défiscalisation des dons..., encore une niche fiscale donc..., que cette famille politique a récupéré plus de 11 millions d'euros. Pis encore..., il c'est trouvé des personnages politiques de la pseudo "gauche" gouvernementale pour soutenir cette action immorale. Nous vous proposons une pétition (1 et 2) à ce sujet pour refuser ces défiscalisations cautionnant le remboursement d'une fraude payée par tous et toutes même les plus pauvres.
L'immoralité politicienne régnante..., illustrée par la responsabilité du plus haut rang de l’État maintenu judiciairement par une mise en examen pour un présumé acte "d'abus de faiblesse" sur la personne d'une milliardaire Française, qui aurait conduit cet ancien candidat et ex-ministre de intérieur à bénéficier de largesse pour le financement de sa campagne électorale présidentielle de 2007, et d'autres chefs d'inculpations dans d'autres affaires (Tapie/Lagarde/La bande organisée, sondage de l'Elysée, etc)..., sont ces pustules formant cette gangrène qui comme avec ce "raz le bol du politiquement correct" puis celui du "raz le bol fiscal" pourrissent notre démocratie et provoquent la défiance des citoyens-es envers les hommes politiques de tous poils et certaines des institutions de la République, la justice entre autres...! Cela constitue le lit qui couve un mal dont sa dangerosité est grandissante. En attendant qui surf sur cette vague d'instrumentalisation d'affect, d'émotion, présentant des corruptions, des conflits d'intérêts amalgamés à des faits divers et que sais-je, à tous les étages, dans toutes les strates de notre démocratie pour dérouler dans le simplisme absolu, dans des slogans marketings sans aucune intelligence, la radicalisation, la tolérance zéro..., la faute à l'étranger-ère...? Vous avez compris de qui je parle et donc n'en ferais pas la pub..! Par contre le rôle de leur opposant politique tous confondus ou presque..., dans ce contexte social et sociétal comme économique ou celui ou règne l'immoralité, voir l'absence pure et simple de la morale, quand la technocratie européenne, mais aussi Française (avec la cour des comptes par exemple) peine à justifier et endiguer les inégalités croissantes, le chômage et la pauvreté seul triste fait ayant une croissance presque à deux chiffres..., ce rôle, du moins son silence n'est pas anodin comme il aura des conséquences catastrophiques pour notre démocratie.
Alors quand le silence (celui entre autres de la censure polémique des publications de Mediapart au sujet "des écoutes de conversations invalidé entre Patrice de Maistre, ex-gestionnaire de fortune de l'héritère de L'Oréal, et son avocate, et des procès-verbaux de garde à vue de Carlos Cassina Vejarano, ancien gestionnaire de l'île seychelloise d'Arros ayant appartenu à Liliane Bettencourt.") justifie..., veut excuser..., maquille un pardon même dans l'esprit de certains-es, il est alors cohérent de se rendre compte que la droite dans l'affaire de la poursuite de la mise en examen de son ancien "chef"..., utilise l’argutie consistant à dire "rien à déclarer". ou encore...: "j’attends de voir la suite des événements". Par contre est-il normal d'entendre des journaleux, dans des médias de masse enclin à défendre ce camp politique, et l'ultralibéralisme économique en général, prétendre que cette décision n'est pas une surprise, voir un non événement (pourquoi en faire leur choux gras alors...?)...?
S'il est un événement marquant..., et qui le sera dans l'avenir dans le sens de l’accentuation du délitement de notre société et de notre démocratie..., c'est d'entendre des politiques, insulter, mépriser des juges dans le cadre de cette décision de la chambre de l’instruction de Bordeaux...! Comme ce fut le cas de Nadine Morano (3 et 4) ce matin, et encore M. Guaino fut un temps. Qu'un politique puisse critiquer une décision de justice en ne prenant que l'angle d'une loi mal faite, du droit par des circonstances dans certains cas prouvant leur inapplicabilité, c'est justement le rôle du politique et le devoir de la démocratie que de savoir évoluer et se remettre en question quand elle ne répond pas, plus ou mal dans certaines circonstances, aux attentes citoyennes et aux adaptations. Mais toujours en respectant le droit et surtout ceux et celles s'y appliquant de par leur devoir, doit rester leur ligne de conduite, cette exemplarité. Du moins ce devrait-être une absolue nécessité à en faire respecter la lettre et l'esprit. Ces élus-es à l'insulte facile ont-ils-elles ou voudraient-ils-elles nous faire oublier qu'ils-elles ont fait ces lois...?
Sans vouloir préjuger de la qualité de son travail..., de sa volonté à vouloir bien faire mais surtout sans contester son autorité ni la décision qu'elle prendra. La justice ne s’honorerait-elle pas à accélérer les procédures afin de sortir par le haut tant notre société, notre conscience citoyenne prise en otage par une dictature de l'émotion, celle de l'opinion publique exacerbée et sur-médiatisée, sur-sondée, qu'elle conforterait sa position d'indépendance dans son devoir qui par l'intrication d'un calendrier électorale, se cachant certainement sous ces embûches et rebondissements futurs..., ne glorifie pas le sens noble de cette démocratie maintenant bafouée et menacée dans sa Constitution, dont elle est en partie garante...?
Lien 1 https://www.change.org/fr/pétitions/assemblée-nationale-sénat-président-de-la-république-pas-d-éxonération-d-impôt-pour-les-dons-à-l-ump-pour-rembourser-sa-dette
Lien 2 http://blogs.mediapart.fr/edition/entre-republique-et-bastille/article/010813/pas-dexoneration-dimpot-pour-les-dons-lump-pour-rembourser-sa-dette
Lien 3 http://www.bfmtv.com/politique/cafe-politique-marion-marechal-le-pen-la-methode-cauet-609116.html
Lien 4 http://www.bfmtv.com/politique/cafe-politique-marion-marechal-le-pen-la-methode-cauet-609116.html