Cet article, intitulé "Ségolène Royal suggère de "demander des tâches" aux intermittents en échange de leur rémunération"..., comme d'autres..., voudraient-ils recadrer la posture de "ministrable" (fort-minable) que cette perdante.../ perdante..., nous parlons de M. Royal Ségolène bien sûr..., tentant de faire passer comme convaincante auprès de l'opinion publique lobotomisée, que l'on ne s'y prendrait pas mieux... Et comme le rappel excellemment ce billet de blog de Vieille Dame "Madame Royal a des idées !!!!", en écho au "Gnan gnan, gnangnan...", non moins ironique que franchement hilarant, le "perdante.../ perdante" cité plus haut n'est là que pour se remémorer l'autre pendant de la médaille que cette formule éculée signifie pour elle, mais ça c'est pas une perte en soi..., quand c'est surtout pour le "petit peuple" qu'elle veut entraîner avec elle tout comme cette clique de "solférien" et autres néolibéraux du gouvernement du législatif, et autres cumulards-es, en s'en servant - des pauvres, chômeurs-euses, précaires, etc - d'essuie pompe et marche pied élyséen...
Est-ce qu'ils ont plus "besoin/envie" d'elle à la Banque Publique d'Investissement (à la BPI quoi)...? Vous savez cette structure qui devait remplacer les banques frauduleuses et fraudeuses, délictueuses quoi..., et pourtant pas inquiétées, immunisées même (corruption oblige) contre les "changements" de pouvoirs politiques...? Cette banque d’État qui ne dispose, par envie politicarde..., que de 30 à 50 milliards d'euros pour "redresser la France" ... A ne pas confondre avec les besoins vitaux des pauvres qui sont de moins en moins "satisfaits" dont elle se contre-fout avec sa clique, par définition, dans cette proposition citée plus haut, quand elle défend et la cause (la "systèmicité" moribonde de la financiarisation de l'économie réelle et des États, accentuée après le crack financier de 2007/8 avec la socialisation massive des pertes frauduleuses des banques, etc, qui concomitamment aggrava l'endettement public, toujours pas auditionnée d'ailleurs) et ses conséquences dans l'abandon (autant que dans la représentativité politique d'ailleurs) à combler urgemment ces besoins vitaux non-satisfaits pour plus de 10 millions de Français-es vivant sous le seuil de pauvreté, pour les chômeurs-euses toujours plus nombreux-ses, pour les précaires dans l'emploi explosant en nombre maintenant (et on doit dire merci à l'accord l'ANI, etc...?)... Ces conséquences qu'on peut résumer comme l'austérité mortifère, les plans d'offres et autres monstrueux cadeaux faits aux patronats, en sacrifiant les aides d'urgences et le pouvoir d'achat des plus pauvres (le financement du CICE par la hausse des taux de TVA, et bientôt le "pacte de responsabilité", etc), sans mettre en cause la seule croissance exceptionnelle des fraudes fiscales, etc qu'ils ont réussi à maintenir en l'état..., et sans lutter contre les "trous noirs de la finance" de fait, comme une promesse qui parler d'adversaire..., de combat..., de ce qu'elle laissait entendre.
Qui va lui dire en face..., à cette pseudo énarque..., que cela s'appelle faire faire du travail gratuit aux chômeurs-euses intermittents-es du spectacle..., comme usent et abusent ces soit-disant "grands" patrons de la distribution alimentaire, et d'autres encore..., comme l'a aussi suggéré, par le dépôt de texte de loi..., à une époque, le fhaine et l'ump...? C'est ça "l'exception culturelle Française", la course de la culture vers le moins disant social, "exception culturelle Française" soit-disant défendue dans l'accord secret nommé "Transatlantique"...? Ça sent le remariage avec M. Gattaz ce truc là... Après les cajoleries tumultueuses et incestueuses de son ex, aujourd'hui "résident" Élyséen, avec le patronat soit-disant "pigeon" et résident anti-fiscal Américain, elle se venge avec ce patron du CAC 40...? La rancune est tenace en matière politicienne, à défaut d'être fidèle envers le "petit peuple".