BRAISES DU CHAOS (avatar)

BRAISES DU CHAOS

BALIKPAPAN@PROTONMAIL.COM __ (55) 71 88826417 __ Secrétaire de rédaction (free lance), c'est-à-dire journaliste: et je tweete, aussi, sur X (ex-Twitter), des faits.

Abonné·e de Mediapart

1502 Billets

0 Édition

Billet de blog 8 septembre 2020

BRAISES DU CHAOS (avatar)

BRAISES DU CHAOS

BALIKPAPAN@PROTONMAIL.COM __ (55) 71 88826417 __ Secrétaire de rédaction (free lance), c'est-à-dire journaliste: et je tweete, aussi, sur X (ex-Twitter), des faits.

Abonné·e de Mediapart

Brésil : Bolsonaro réitère son apologie du coup d'État militaire de 1964

Dans un discours télévisé, martial, d'un peu plus de trois minutes, le 7 septembre 2020 au soir, date anniversaire (1822) de l'indépendance du pays, le président de la république Jair Bolsonaro a, encore une fois, martelé son admiration pour la dictature militaire mise en place le 1er avril 1964 et pour la religion chrétienne.

BRAISES DU CHAOS (avatar)

BRAISES DU CHAOS

BALIKPAPAN@PROTONMAIL.COM __ (55) 71 88826417 __ Secrétaire de rédaction (free lance), c'est-à-dire journaliste: et je tweete, aussi, sur X (ex-Twitter), des faits.

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

« Quand l'ombre du communisme nous a menacés, des millions de Brésiliens identifiés aux aspirations nationales, de préservation des institutions démocratiques, sont descendus dans la rue contre un pays enserré par la radicalisation idéologique et par la corruption généralisée. Le sang des Brésiliens a coulé pour la liberté. Nous avons vaincu hier, nous sommes en train de vaincre en ce moment et nous vaincrons toujours. (...) Nous sommes une nation qui a peur de Dieu, qui respecte la famille et qui aime sa patrie. »


Ces deux seuls extraits en disent long sur la détermination neofasciste du locataire, depuis le 1er janvier 2019, du Palácio do Planalto à Brasilia.

Le 7 septembre 2020, au soir, Jair Bolsonaro pour la date anniversaire (1822) de l'indépendance du Brésil © DR

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.