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«Rien ne justifie qu’on danse sur un cadavre» écrit Bruno Retailleau qui ne semble pas connaître l'Histoire de son pays et se désigne ainsi comme un ennemi de la République. Peut-être faut-il rappeler à certains et notamment au Premier Ministre qui écrit à propos du même Jean-Marie Le Pen: «On savait, en le combattant, quel combattant il était » que rien ne justifie de tel propos à propos d'un individu séditieux, qui a pratiqué la torture, et qui a été condamné plusieurs fois pour racisme et antisémitisme...
Est-ce que ce «gouvernement» peut durer après ces mots qui insultent notre histoire? faut-il rappeler à tout ces Ministres de droite et de la droite extrême - qui se croient intègre - d'où vient la République? Comment est né notre démocratie?
En dansant sur un cadavre, le traître Capet que la Révolution a su raccourcir avec raison.
La plupart des actions, propos de Jean-Marie Le Pen sont contre nos valeurs... Il faut donc se réjouir de sa disparition, parce qu'il ne pourra plus nuire.
Les gens qui saluent sa mémoire, se désignent d'eux-mêmes, en dehors du cercle Républicain comme ennemi de la démocratie (obtenue de haute lutte) ils sont des extrémistes de droite ou d'ultra-droite comme le proclamr avec raison le Conseil d'État...
Il serait temps, le jour où les mêmes déposent des gerbes en Mémoire de Charlie que ses gens accordent leur violons. On ne peut s'incliner à la fois devant Cabu, Wolinski ou Charb (pour ne citer qu'eux) et en "même temps" reconnaître une quelconque valeur à un ennemi de la République.