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Saad Lamjarred ne s’est pas présenté au Tribunal de Grande Instance de Paris pour la plainte au civil dirigée contre lui par sa présumée victime française.
Ne s’étant donc pas déplacé, il s’est fait représenter par son conseil. Aucun verdict n’a été rendu aujourd’hui. Et c’est normal.
L’affaire s’annonce enchevêtrée pour la justice qui doit démêler le vrai du faux. Pas une mince affaire au vu des données et des précédents judiciaires de l’accusé.
Des histoires de pratiques sadiques incontrôlées et incontrôlables qui traînent comme des boulets aux pieds de l’accusé et qu’il va falloir prouver.
Pour le volet pénal, aucune date n’a été communiquée. L’instruction est pourtant close, d’après nos sources.
Les lois françaises sont on ne peut plus claires : Trois mois après la fin de l’instruction, le Parquet doit signifier aux parties concernées à quel tribunal l’affaire va être exposée.
Si la date du procès n’a pas encore été communiquée aux parties demanderesse et défenderesse, c’est dû probablement au déménagement du Tribunal, toujours d’après nos sources.
Concrètement le chanteur marocain fait l’objet de deux plaintes au pénal. L’une émanant de Laura Prioul et l’autre d’une Franco-marocaine.
Ce que les médias et le public marocains ne comprennent pas c’est que même si la Franco-Marocaine viendrait à retirer sa plainte ou qu’elle refuse de coopérer avec la justice, sa démarche est respectée.
Mais sa plainte est MAINTENUE. C’est ainsi que fonctionne la justice en France. Et pas autrement. Une fois une plainte est déposée seul le Procureur a le droit de la retirer.
Cela n’a pas été le cas pour l’Affaire Saad Lamjarred qui reste poursuivi par DEUX présumées victimes et non pas par une SEULE. ( TVقراو مليح يا شوف )
Docteur Rachid BARBOUCH,
From New York