La région du Rif connaît certes des problèmes politiques et socio-économiques assez importants, terreau possible d'un soulèvement, mais cela n'explique pas tout ce qui se passe dans cette région.
L'implication directe d'éléments étrangers dans ce qui est convenu d'appeler maintenant le "Hirak Chaabi" (La Mouvance Populaire ) apparaît dorénavant comme une évidence que nul ne peut nier.
Il suffit pour s'en convaincre d'aller sur les sites rifains d'Al Hoceima et d' Imzouren appelant à la rébellion. Les éléments étrangers qui y évoluent sont particulièrement actifs, agissant souvent à visage découvert avec des profils publics, comme pour narguer les autorités marocaines.
Certains de ces éléments sont issus de la Kabylie, d'autres de la Région de Chawia, d'autres encore sont installés dans des pays européens. Cette présence d'étrangers dans le Hirak confirme l'idée d'une implication extérieure insoupçonnable.
Il faut dire qu'entre l'Algérie et le Maroc, les relations n'ont jamais été reluisantes et le sont encore moins ces derniers temps. Le voisin algérien finance et arme depuis longtemps des groupes de dissidents dans le Sahara marocain.
Aujourd'hui, alors qu'il commence à perdre du terrain par rapport au Maroc au niveau diplomatique, il n'est nullement exclu qu'il en fasse de même avec les habitants de cette Région du Rif.
Certains des éléments étrangers appellent carrément à renverser la monarchie marocaine, proposent leur aides en armes et se montrent particulièrement violents dans leurs discours.
Depuis le début des manifs, ils travaillent à exacerber les tensions et à générer la haine entre Marocains. Objectif inavoué: pousser les uns et les autres à la guerre civile pour tirer pleinement profit du chaos occasionné.
Les autorités marocaines doivent fermer d'urgence ces sites qui menacent la stabilité du pays. Les captures d'écran ci-dessous montrent bien qu'il s'agit d'individus algériens intervenant dans le groupe Imzouren-City.
Nb: Les lecteurs sont invités à aller eux-mêmes s'assurer de la présence de dizaines d'activistes Algériens sur la page Facebook d'Imzouren-City connue pour attiser les haines entre Marocains.

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