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Randa Jarrar, auteure et professeure au département d'anglais de la California State University, Fresno ( Aka Fresno State), s'est fondu de commentaires jugés désagréables une heure après l'annonce de la mort de l'ancienne première dame du pays de l'Oncle Sam.
“Barbara Bush was a generous and smart and amazing racist who, along with her husband, raised a war criminal. F*** outta here with your nice words,” the professor tweeted.
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"Barbara Bush était une raciste généreuse, intelligente et étonnante qui, avec son mari, a élevé un criminel de guerre. F *** ici avec tes gentils mots, "a tweeté la professeure.
Barbara Bush, 92 ans, est décédée mardi, quelques jours après que sa famille ait annoncé qu'elle était en mauvaise santé et qu'elle refusait un traitement médical supplémentaire utilisé comme "soin de confort".
Son mari, l'ancien président George H.W. Bush s'est dit très peinée par la perte de sa «bien-aimée Barbara». Son rejeton George W. Bush a quant à lui décrit sa mère comme "une fabuleuse première dame" et "une femme comme aucune autre".
Randa Jarrar, née à Chicago, d'une mère Greco-Egyptienne et d'un père Palestinien, elle, n'avait pas l'air d'être peinée par la disparition de celle qu'on surnomme la grand-mère. Bien au contraire.
"PS: Soit vous êtes contre ces morceaux de m°°° et leurs manières génocidaires soit vous faites partie du problème. C'est aussi simple que ça. Je suis contente que la sorcière soit morte. Je suis impatiente de voir le reste de la famille rejoindre dans leur chute les 1,5 million d'Irakiens ", a déclaré Jarrar dans un autre tweet.
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“PSA: either you are against these pieces of s--- and their genocidal ways or you're part of the problem. That’s actually how simple this is. I'm happy the witch is dead. Can’t wait for the rest of her family to fall to their demise the way 1.5 million Iraqis have,” Jarrar said in another tweet.
Les propos controversés de Randa Jarrar ont obligé l'Etat de Fresno à publier une déclaration qui prend ses distances par rapport aux affirmations de la professeure, qui, selon les responsables, "suscitent de profondes inquiétudes".