Il faut appeler un chat un chat: Au Maroc, ce sont des milliers de patients qui meurent chaque année soit du fait de négligences soit du fait de fatales erreurs médicales.
Les auteurs de ces erreurs ou de ces négligences sont rarement poursuivis en justice.. Et quand bien même ils sont poursuivis, ils ne sont presque jamais condamnés.. Allez savoir pourquoi..
Le secteur de la santé, autant dans le privé que dans le public, est souvent livré à lui-même. On ne comprend rien de rien à ses rouages qu'on dirait mis en place pour embrouiller et les patients et leurs proches.
Une bonne partie des soi disant médecins marocains ( pas tous heureusement, il y a bien quelques âmes charitables qui n'ont pas vendu leur âme au diable) ont prêté le serment d'Hippocrate non pas pour sauver des vies et être au service des patients mais pour amasser le maximum d'argent.
C'est bien connu au bled: Si tu veux devenir riche, cherche pas loin, fais médecine. C'est le Cursus à suivre si tu veux finir comme Crésus. Et pour cause, il n' ya pas de mystère à cela: Si en France, un médecin ça gagne en moyenne 3000 euros nets par mois, c'est au moins ce que gagne un médecin Marocain par jour très souvent sur le dos de pauvres gens.
Pour revenir à ce CHU Ibn Roch de Casablanca qui a transféré à la Maternité une patiente présentant des symptômes très inquiétants de vers de peau ( peut-être ..) qui ressortent de son épaule probablement consécutifs à une grave infection, la moindre des choses est d'expliquer aux personnes concernées le problème qu'il y a.
Oui il y a le secret professionel. Ok. Mais parlez au moins aux patients. On connait trop les médecins khorotos du bled qui se la pètent, se la racontent grave, comme s'ils avaient la science infuse, tout l'opposé du professeur de médecine français lambda Prix Nobel de médecine qui vient parler tout modestement à ses patients, les rassurant, les informant..
Je ne parle évidemment pas de tous les médecins marocains, mais d'une bonne partie d'entre eux, qui doivent reposer leurs pieds sur Terre, pour être au service des patients, au lieu de faire de ce métier ô combien noble, un commerce engrangeant argent sur argent souvent sur le dos de citoyens démunis.
Rah had chi bezzaf w Hchouma..