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Le licenciement de Slaoui a été introduit par le conseil d'administration de GlaxoSmithKline, actionnaire majoritaire de Galvani après la réception d’une lettre rédigée par une employée de GSK accusant le chercheur maroco-americano-belge de « harcèlement sexuel et de conduite inappropriée »
Les faits se seraient produits il y a quelques années, au moment où Dr. Moncef Slaoui travaillait encore au sein de GlaxoSmithKline.
«Dès réception de la lettre, le conseil d'administration de GSK a immédiatement ouvert une enquête auprès d'une agence de conseils juridiques compétente pour analyser ces allégations», a affirmé GSK.
Le contenu de cette lettre n’a pas été révélé mais la société GSK estime que « les comportements de Slaoui sont totalement inacceptables. »
" Ils constituent un abus de pouvoir, violent les règles de l'entreprise et sont contraires aux valeurs que véhicule GSK. " ajoute l’entreprise pharmaceutique.
« GSK attend de ses salariés des comportements exemplaires, conformes à ses valeurs. Les dirigeants de l’entreprise sont soumis aux mêmes exigences. Le harcèlement sexuel et tout abus de pouvoir sont strictement interdits et ne seront pas tolérés. "
Christopher Corsico, vice-président senior chargé de développement chez GSK et membre actuel du conseil d’administration de Galvani, a été nommé tout nouveau président de Galvani.
GSK a également annoncé qu'Amy Altshul, son vice-président senior en charge des franchises commerciales, des ressources et développements avait été nommé au conseil d'administration de Galvani.
Pour rappel, Moncef Slaoui a travaillé pendant 30 ans au sein de GSK. Entre 2006 à 2017, le professeur marocain était responsable du pôle recherche et développement au sein de cette entreprise avant d’être désigné pour trouver des vaccins contre le coronavirus Covid-19 .
Il a récemment lancé une nouvelle société « Centessa Pharmaceuticals »

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