Encore une fois le Président et son appareil d'état martèlent le même discours faisant fi des réelles préoccupations de tout un chacun en matière de revenu décent pour tous et de protection sociale.
Il entend lancer une grande concertation, alors que les citoyens sont mis devant le fait accompli. De qui se moque t-on?
Il destine une lettre au peuple, si ce n'est sa démission, elle aura de multiples usages.
Mais l'arrogance est à son comble et dépasse tout entendement. De dire et de rappeler que l’État est par nature violent. Tout étudiant(e) apprend cela en droit
Macron dans un message déclare ce 5 janvier qu'une "extrême violence est venue attaquer la République".
Il a parfaitement raison. Cette violence émane de l’État lui même et de ses représentants prétentieux et imbus d'eux mêmes. Cette violence se traduit au quotidien par les maux qu'engendre une politique funeste, partisane et de castes. En somme une oligarchie.Ces maux se nomment précarité, pauvreté, mendicité, absence de droits, exclusion.....
Ce n'est pas cela la République française une et indivisible. Macron s'est trompé encore une fois de régime.
L'insurrection, la rébellion est légitime quand les droits du peuple sont bafoués, déclaration des Droits de l'Homme est du Citoyen de 1793.
C'est ici le cas.
Il ne reste plus que trois alternatives crédibles pour se sortir de cette situation.
- Un référendum populaire.
- La dissolution de l'Assemblée nationale.
- La démission.