Article 3 - Méthode de torture et d'abus de surveillance, le harcèlement acoustique
Il y a peu, j’ai reçu une réponse du cabinet de la Première ministre, qui a transmis ma requête au préfet territorialement compétent. C’est un geste d’écoute républicain que je salue, et qui me rappelle qu’en dépit des dérives que je dénonce, certaines institutions restent à l’écoute de leurs citoyens.
Mais pendant ce temps-là, le harcèlement continue.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Courrier premier ministre
Agrandissement : Illustration 1
Un harcèlement sonore ininterrompu, dans mon propre domicile
Depuis plus de deux ans, je subis un bombardement sonore quotidien à l’intérieur même de mon logement.
Ce n’est pas une figure de style : les sons intrusifs sont constants, variés, et systématiquement hostiles. Voix, commentaires, injonctions, chuchotements, bruitages artificiels… Le tout à des volumes fluctuants, allant du murmure persistant aux pics de décibels dérangeants.
Aucune source visible. Aucun voisin. Aucun appareil en fonctionnement.
J’ai suivi la piste la plus simple : peut-être que je me fais des idées
D’un point de vue rationnel, l’explication la plus simple — selon le rasoir d’Ockham — serait que mes perceptions sont erronées. Une hypersensibilité auditive ? Une hallucination sensorielle ? Un délire paranoïaque ?
C’est à partir de cette hypothèse que j’ai décidé d’agir. Si ce n’était “que” ma perception, aucun microphone ne capterait quoi que ce soit, et l’affaire serait réglée.
Mais ce n’est pas ce qui s’est passé.
J’ai développé
NoiseWatcher, une application de détection sonore objective
Pour trancher, j’ai conçu NoiseWatcher, un programme en python que j’ai développé moi-même.
Il fonctionne ainsi :
Il enregistre l’ambiance sonore en continu via microphone.
Il détecte les pics soudains de volume, même faibles.
Il enregistre uniquement les sons anormaux ou isolés, en supprimant les bruits de fond stables.
Il les stocke horodatés, pour analyse et comparaison.
J’ai utilisé ce logiciel dans ma maison individuelle, isolée, sans aucun appareil électrique en route, sans trafic à proximité, aucune source sonore normale.
Et malgré tout, des sons apparaissent, enregistrés noir sur blanc. Des messages. Des phrases. Des attaques verbales. J'y ai également ajouté une option pour jouer une alarme sonore quand une nuisance est détectée, et une autre pour jouer une "contre-nuisance" soit des affirmations positives pour que les "enceintes se parlent entre elles".
Ce que vous allez entendre n’est pas un bug de l’oreille
Je partage ici deux échantillons audio issus de ces enregistrements, réalisés dans des conditions neutres, pour écarter toute explication rationnelle classique.
Ce que vous entendrez est réel, localisé, agressif, et émis par une source invisible. Je vous invite à l'écouter attentivement avec des écouteurs, et a vous faire votre propre opinion, si ces nuisances ont vocation à être entendue dans une maison sans mitoyenneté, sans voisinage et sans passage. Sur le premier, vous pourrez entendre à l'écoute attentive 'faut-te-tuer', et le second, une voix déformée qui dis quelque chose comme 'gangster' - ce n'est pas tant le contenu qui est important, c'est le fait d'avoir constamment des gens qui vous parle avec un dispositif qui emet des sons assez grave ou directionnel capable de traverser des boulqies et un casque anti-bruit combinés. https://soundcloud.com/reseau-sous-ombre/echantillon-audio-domicile https://soundcloud.com/reseau-sous-ombre/echantillon-audio-domicile-1
Une campagne sonore pour détruire l’esprit
Ce harcèlement n’a rien de passif. Il est structuré. Organisé. Répété. C’est une guerre psychologique à domicile.
Les voix projetées sont là pour me fatiguer, m’humilier, m’user, m’écraser.
Jour et nuit. Sans interruption. Depuis deux ans.
Et leur objectif est clair : me pousser à la rupture, voire au suicide. Ce sont des spécialistes.
Les nouveaux nazis
Qu’on ne se méprenne pas sur la gravité du sujet. Ces individus qui s’acharnent dans l’ombre, en se croyant invisibles et intouchables, sont les héritiers d’un totalitarisme rampant.
Ils partagent avec les anciens fascismes le goût de la déshumanisation, de la surveillance invisible, de la torture psychique propre et sans trace.
Et malgré leur arsenal, leur technologie, leur lâcheté, ils me semblent minables.
Ils sont la plus basse forme de vie. Des parasites modernes, sans courage, sans honneur, sans projet. Des lâches habillés en spectres technologiques.
Un phénomène mondial, et encore trop peu reconnu
Je ne suis pas seul. Des centaines — peut-être des milliers — de personnes à travers le monde dénoncent des campagnes de harcèlement acoustique, mental, technologique.
On parle de terrorisme psychologique d’État ou de groupes structurés, voire STASI.
Les plaintes se ressemblent, les méthodes aussi. Mais les réponses officielles restent floues, quand elles ne sont pas hostiles.
Ecoutez son extrait attentivement, et vous constaterez qu'il y a des voix sur des couches de voix, le modus opérandi de ces cafards afin d'endommager la santé mentale de leur cibles.
Je continuerai à documenter. À enregistrer. À publier. Car ces cafards détestent la lumière et donc il faut absolument mettre ces dangereux terroristes sous les projecteurs.
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