Echangeriez vous un baril d’Ultra, contre deux barils d’Extrême ?

Déjà, l’extrême droite, devient « ultra-droite » quand elle est dénoncée par les « Services Secrets ».
C'est factuel, c'est une info de Médiapart.
Rien que ça devrait mettre la puce à l’oreille des moins méfiants.


Bon, à part ça, on retrouve ici, le tropisme bureaucratique habituel des archistes de tout poil, qui rêvent tout haut, de « bons services secrets » (qui en trouvent même quelques racines, dans ceux qui les espionnent toute la journée), de « bons policiers », de « bons militaires », de « bons patrons », et de » bons religieux ».
Un peu comme il existe,  le « bon chasseur », et le « mauvais chasseur ».
Passons rapidement sur « l’utra-gauche », quand on voit ce qu’on qualifié d’extrême gauche, on peut tomber dedans à tout moment, il suffit probablement de griller un feu rouge.


Intéressons nous à  l’ultra droite, complément obligé de l’extrême droite « dédiabolisée ».
Comme sa maison mère, elle  n’est pas définie politiquement, ni sociologiquement, c’est juste la tribu, qui combat celles, dont se réclame tout bon citoyen.

Mais, il y a une part de vérité là dedans.

Il faut bien reconnaître que l’effondrement, intellectuel et idéologique, ne frappe pas que ce qui nous sert de « gauche », et qu’il devient aussi très compliqué de trouver de l’idéologie dans le tas de fumier (s), « de droite ».

Avec un minimum de culture politique, on fait commencer la droite à l’entrée du Parlement, et faire le tri, entre les clubs de supporters des différentes équipes de soutien, béat ou critique, du Capitalisme, tient de l’entomologie, spécialité cloportes, et pas de l’analyse politique.


L’ extrême pas grand chose donc, devient ultra, en recrutant les plus crétins et les les plus décomplexés, des pervers en mal de posture sociétale, et comme ils n’ont rien dans le citron, comme tout paranoïaque, ils s’inventent des ennemis à leur mesure.

Ce qui limite les capacités d’extensions du phénomène, c’est que très vite, les plus atteints, s’en prennent à leurs proches, qu’ils accusent de n’être pas assez comme eux.


Mais je dois m’égarer, il doit bien y avoir quelques-uns de ces gens, qui pensent le monde, à travers des déterminants socio-économiques, et pas seulement en terme de tribus sociétales en guerre.

Forcément un ou deux, allez … Une dizaine.

En cherchant bien, il doit bien y avoir quelques « grands patrons », qui joignent l’utile au  désagréable.