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Billet de blog 11 octobre 2025

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Les Gentils Organisateurs du pillage en conclave.

Et déjà une fumée blanche. Il ne s'agissait de rien de moins, que de sauver le Principe Bureaucratique, et le règne invisible du Crime Economique Organisé.

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Le dernier devoir d'un Président, est de se faire haïr suffisamment, pour garantir une participation suffisante au concours de mensonges organisé pour le remplacer. 
Le futur taux de participation s'annonçant désastreux, le recours à la dramatisation est devenu indispensable.

On ne discutait pas d’un changement, mais juste des moyens à utiliser, pour que rien ne change.

Le psychodrame pré-électoral actuel, joué par les meilleurs des brasseurs de vent, avait juste pour but de trouver qui pourra nous faire accepter, le plus calmement possible, les exigences impératives des actionnaires de l’Etat privatisé.

Aucun des acteurs de cette farce, et pas plus les seconds rôles « non invités »,  que les premiers, ne remet en question le Capitalisme, et l’existence d’une rente à vie, à verser aux Cartels, baptisée « Dette ».

L’acceptation de la légitimité de cette rente, est totale, et les seules différences portent sur le monde de remboursement.
La gauche du Capitalisme, apportant juste une touche d’humour, en proposant de l’étaler et de la compléter, en prélevant 2% sur les hauts revenus, pour pouvoir leur rendre plus facilement (avec intérêt).

Le pillage des biens communs, le vol, l’exploitation et la rente impérialiste seront ainsi légalisés et moralisés,  par ce mouvement de balancier.


Et c’est à cette fine équipe, de canailles et/ou d’imbéciles, l’incertitude ne venant que du gout prononcé pour le cumul de certains, qu’on propose, de former un « gouvernement ».
Macron a accepté de sauver du ridicule les « non invités », qui sont effectivement, la dernière chance de sauver le Capitalisme.

Ces dernières chances, RN et LFI, n’auraient pas résisté au ridicule de l’impuissance volubile.


Gouverner un Etat privatisé, c’est postuler au rôle de DRH, d’un « Etat », dont la toute première des fonctions, est de distribuer,  aujourd’hui, aux « acteurs économiques », ce qu’on espère pouvoir prélever  plus tard, à leurs « clients » et victimes.

La subvention, issue de l'impôt,  pour combler les manques de la facture, et maintenir en vie le commerce et l’industrie résiduelle.

Tout ce cirque n’est QUE ça.
L'élégance du procédé, réside dans le fait, qu'ils se partagent le butin, placé en anticipations boursières, avant même de l'avoir amassé, et qu'il devient ensuite impossible de revenir en arrière.

Certains, qui s’imaginent probablement citoyens, alors qu’ils ne sont plus que clients,  se demandent avec inquiétude pourquoi on les prend.

La réponse est dans la question: On les prend pour des gens, capables de se demander pour quoi on les prend.

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