Masques, test, vaccins, médicaments, machines médicales, brevets, la socialisation du nécessaire est un impératif
Plutôt que d’offrir 1000 euros sans charges ni impôts à la chair à virus des supermarchés, pour que les Cartels de l’alimentation puissent continuer à se gaver de manière indécente.
Les milliardaires « offrent » une aumone qui représentera une infime fraction de ce que Macron leur à économisé en impôts, et le gouvernement parle de « réquisitions », des entreprises susceptibles de produire cet indispensable, que des générations de politicards, toute posture confondue, ont trouvé jusque là trop cher pour être stocké.
Il est parfaitement vain de proposer des solutions, à cette bande de canailles de pervers et d’imbéciles.
On peut juste évoquer une des premières taches à accomplir, quand on les aura virés.
Il faut d’ores et déjà, leur interdire de se glorifier des mesures prophylactiques qu’ils nous imposent, après nous avoir imposé ce virus, par 50 ans de destruction méthodique de nos capacités médicales.
Cette crise sanitaire, doit accoucher d’un nettoyage, et c’est eux et leurs rêves de cannibales qu’il faut expulser.
Ce qui nous sert de gauche, doit cesser de nous promener, en nous faisant croire que les mettre eux, au poste de DRH des cartels industriels et financiers usufruitiers de l’Etat privatisé, changerait quoique ce soit.
Ca n’est pas d’eux qu’il faut attendre une solution qui leur fera perdre le plus gros de leurs revenus.
La SOCIALISATION DU NECESSAIRE.
Les travailleurs de ce secteur, l’encadrement et les chercheurs d’accord avec ce principe, les usagers, doivent poser collectivement les bases de cette industrie.