La Grande comédie des retraites.


La Droite, comme la Gauche du Capitalisme qui occupe le Parlement, le sait parfaitement, et chacun joue son petit rôle, pour y parvenir.

Les décisions du Parlement sont scrutées par les « agences de notation », et la survie même du concept de « budget », dépend des taux exigés pour augmenter la dette.

Comme pour tout ce qui concerne « l’assurance », les prédateurs basent toute leur « communication », sur la rente, alors que leur seule et unique préoccupation, c’est la cotisation.
Leur vrai métier n’est absolument pas de vous reverser de l’argent, mais au contraire de vous en prendre, en faisant tout ce qui est possible, pour ne pas devoir vous le rendre.

Un assuré, fou de bonheur par ce qu’il s’est cassé une jambe, ou un quidam euphorique après avoir souscrit une assurance vie, c’est la base de la communication des assureurs.

Et c’est exactement pareil au Parlement, ou des gens qui vont palper un minimum de 10000 balles/mois, après avoir bullé le plus gros de leur vie, discutent avec passion, du sort de gens qui vont toucher 1000 balles après une vie de merde.

Là encore, la rente, ils n’en ont strictement rien à battre (sauf la leur), ce qui compte c’est de sauver le système qui les nourrit, et leur permet d’échapper au boulot.


Hier, ils ont fait semblant de reculer sur la « réforme », alors ils vont vous faire payer si cher, votre obstination, que vous allez finir par réclamer vous même le fouet.

Et la gauche du Capitalisme promet de négocier pied à pied, la longueur du fouet.


La réalité c’est que le pactole, de ces deux ans de cotisation supplémentaires, ils l’ont déjà claqué en anticipation boursières, en promesse d’augmentation de budget militaire, en aumônes clientéliste, payées à coup de « dette », et qu’ils ne peuvent pas revenir là dessus, par ce que s’ils le font, les taux d’endettement vont flamber et ça stopperait la fabrication d’argent imaginaire.


Et tout le monde du divertissement politique et médiatique, fait semblant de jouer, une partie terminée depuis longtemps, chacun selon son style et sa clientèle captive.