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Billet de blog 5 octobre 2009

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Jacque Rosselin laisse parler les petits papiers

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

C'est un l'histoire d'un mec qui s'est mis à débloguer le vendredi.
Dans la grande soupe au lait de la blogosphère, il écrème la mousse du dessus pour la servir sur papier, comme un maître saucier qui opère une savante réduction pour extraire la quintessence épicée, aux différents arômes subtils, de ce qui se raconte sur Internet.

Vogelsong et Eric Mainville ont écrémé l'écrémeur dans une interview bloguesque de celui qui n'a pas de blog, mais un journal endormi pour l'instant. C'est à deux pas des 2 Magots, carrefour de la Croix-Rouge à Saint Germain des prés (j'y trainais il y a 25 ans quand j'apprenais à tenir un crayon à l'Académie Julian, rue du Dragon), qu'ils ont coincé Rosselin, et sous la torture lui ont fait tout avouer.

"J’ai peur de bloguer. Vous (les blogueurs) êtes des gens impitoyables. Vous êtes méchants (sourire) ! Sérieusement. Je suis trop sensible à la critique. Je lisais des gens sur les blogs critiquer Vendredi ou dire que nous étions ceci ou cela, cela me heurtait vraiment. J’ai du mal avec la critique dure et les trolls. Il faut avoir la peau dure pour bloguer…"

"J’aimerais démarrer (la reprise de Vendredi) avant la fin de l’année. Le nouveau projet éditorial sera prêt début novembre. Si tout fonctionne bien, c’est à dire la connexion entre le net et le papier, le fonctionnement avec les blogueurs et la nouvelle formule, oui avant la fin de l’année. Mais on ne repart pas tout seul. Emmanuel (de Moutis) et moi avons investi beaucoup de notre argent là dedans, (Pierre) Bergé nous a accompagné (nous avions gagné de l’argent ensemble avec la télé locale, nous l’avons réinvesti ensemble). Nous ne voulons pas repartir seuls et recherchons un partenaire. Financier ou pro du secteur. Sur les 2 000 000 d’euros dont on a besoin, pour achever le lancement du projet, on a la moitié."

Un article du Rimbusblog

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