Un autre regard posé sur des fêtes éphémères. Une incompréhension face à la violence disproportionnée des forces de l'ordre face à une jeunesse souhaitant se déconfiner. Des actes illégaux effectués par les forces de l'ordre. Quel pays laisse sa jeunesse meurtrie, ensanglantée, effrayée, traumatisée?
Un autre regard posé sur des fêtes éphémères. Une incompréhension face à la violence disproportionnée des forces de l'ordre face à une jeunesse souhaitant se déconfiner. Des actes illégaux effectués par les forces de l'ordre. Quel pays laisse sa jeunesse meurtrie, ensanglantée, effrayée, traumatisée?
J’ai peur de ces silences de nos représentants politiques, mais également des citoyen-e-s quand je vois une jeunesse à terre, ensanglantée, hurlant terrifiée dans la nuit, car elle s’est simplement déplacée pour aller danser. Un besoin viscéral de poser des mots, d’évoquer mes ressentis vis-à-vis de ce qu’il s’est produit sur ordre du préfet de Police dans la commune de Redon.
