Des -ismes qui n'en font qu'un: Sarkozisme.
Il y a du grain à moudre: des concepts qui se recoupent et se renforcent (des -ismes qui se donnent la main et font la ronde) , des faits (le peuple face à lui-même, abandonné des élites) et leur dévoiement, une exploitation de la naïveté du peuple-délaissé, le triomphe de l'homme médiatique, la fascination de l'image, l'amour de la formule creuse, le délitement des idées, leur fuite dans le symbole éculé, le vide qui appelle le vide...
Cela vaudrait un long papier que je n'ai pas le temps de faire pour le moment. Mais vos réactions sont les bienvenues pour l'écrire, peut-être à plusieurs.
« Le spectacle est le mauvais rêve de la société moderne enchaînée, qui n'exprime finalement que son désir de dormir. » Guy Debord
Edit: le billet d'Edwy Plenel, que je n'avais pas lu avant de poster celui-ci, amorce la réflexion. http://www.mediapart.fr/journal/france/151009/la-corruption-de-l-esprit-public