Dans quel gouffre tombe l'Europe ?
La précarité de la vie quotidienne a, d'ores et déjà, des conséquences graves sur le plan démographique.
Comment nourrir des enfants dans une situation de précarité ? Ou cherche-t-on, sciemment, à diminuer la population mondiale de manière radicale et définitive ? Voire, à remplacer la plupart des humains par des machines...
De quel(s) moyen(s) d'intervention disposent les citoyens face à la politique et la stratégie du grand capital dont le contenu profond ne leur est jamais dévoilé dans le système actuel ?
On n'a pas affaire à un "réajustement" de la natalité, mais à un effondrement brutal de cette dernière sous l'effet d'une pression économique organisée et développée par les milieux financiers qui "gèrent" aujourd'hui l'évolution de la société occidentale.
Au point, que même le Vatican a éprouvé le besoin de participer à l'ouverture des États Généraux de la Natalité, à Rome, le 14 mai, avec cette déclaration du Pape : "Une société qui n'accueille pas la vie cesse de vivre". Mais qui contrôle cette société ?
RTBF (Belgique) interroge "Démographie : la population mondiale sera-t-elle bientôt en déclin ? ". Mais de quoi, et de qui, dépend cette évolution ? Peut-on valablement faire abstraction du système économique et social en place ?
Pour la France, le site Vie Publique expose :
Au 1er janvier 2021, la population en France s'élève à 67.4 millions d'habitants, selon le bilan démographique 2020 de l'INSEE. L'année 2020 a été particulièrement marquée par une augmentation du nombre de décès, une baisse de l'espérance de vie et un recul des naissances et des mariages.
(fin de l'extrait)
L'Italie n'a, donc, pas été le seul pays européen touché par la "crise". Crise, ou évolution organisée par le grand capital ?
A propos de l'Italie, Sud Ouest (avec AFP) commente : " Natalité : en manque d'enfants, l'Italie se dépeuple ". Triste réalité.