Rien de moins. Mais pourquoi les réactions institutionnelles face au Covid-19 ont-elles été si tardives ? Et pourquoi, à présent, nous parle-t-on d'une logique de guerre ?
Que faut-il entendre par "économie de guerre", a fortiori de la part du Secrétaire général de l'ONU ?
Que deviendront les droits et libertés des populations si on suit une telle "logique" ? Et qui ose dénoncer la domination à l'échelle planétaire du grand capital mondialisé ?
Quels sont, d'ailleurs, les revenus de Secrétaire général de l'ONU ? Et qu'en est-il pour l'ensemble des instances dirigeantes ?
Sans manichéisme, mais par un simple raisonnement : que peut-on attendre des instances dirigeantes de l'ONU dans un tel contexte ?
Et que fait-on, concrètement, pour aider les pays les moins développés à dépasser ce stade de retard technologique et être en mesure de fabriquer eux-mêmes des vaccins ? Une question déjà soulevée à plusieurs reprises sur ce blog.
L'OMS se réunit tout au long de cette semaine. Qu'en émergera-t-il ? Il est question d'un "conseil mondial contre les menaces sanitaires", mais pourra-t-on résoudre les vrais problèmes par la création de structures et de "bonnes places" associées ?
La situation de la planète, sur le plan sanitaire, est en effet très inquiétante et génératrice de graves urgences. Mais comment s'en sortir, sous l'emprise hégémonique du grand capital ?
Que deviendra, dans le monde actuel, la majorité de la population ?