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Billet de blog 18 janvier 2022

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Leçon COVID n°5/ Pour une bonne économie, « le travail » c'est la santé !

Recyclage du 12 avril 2020 qui montre bien que rien n'a changé. Une belle leçon du COVID 19/ Si la santé de ceux qui produisent, transportent, vendent et achètent décline, l'économie s'écroule quelle que soit son idéologie

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Que n'avons-nous pas entendu en France sur les coûts exorbitants de la santé et sur son utilité

  • L'hôpital est trop cher et rempli de feignants

  • Trop « d'arrêt maladie » dans les entreprises : trop de feignants ici aussi....

  • Plus assez de Médecin du travail, mais est-ce vraiment important...

  • Suppression des CHSCT : inutiles ou trop coûteux....

La liste est encore longue et pourtant, le COVID nous le montre clairement :

Si ceux qui produisent, transportent, vendent et achètent ne sont pas en bonne santé, l'économie s'écroule.

La leçon est claire, le « marché financier » en s'emparant de la santé, en l'étranglant pour faire un maximum de bénéfices, s'est tiré une balle dans le pied ! C'est pas la crise du COVID, c'est la crise d'un système idéologique, d'une pensée unique : faire des bénéfices sur tout et n'importe quoi!

Mettre un prix sur la santé c'est détruire l'économie et la planète quelque soit l'idéologie qui la porte !

En effet, des gens en bonne santé, c'est une production industrielle moins polluante, c'est de bonnes conditions de travail et de vie et donc un commerce « florissant ».

La santé des gens c'est la santé du monde

La santé c'est l'ECOLOGIE

La santé publique est donc économiquement et intrinsèquement plus que rentable........SAUF pour les financiers et les actionnaires car ils ne peuvent se rémunérer dessus.

Le « marché financier » de la santé vient de faire s'écrouler le monde du « marché financier sans limite »

Les minimum vitaux comme la santé, l'énergie et l'eau ne devraient jamais être un marché financier mais un bien pour tous car c'est la base de toute économie en bonne SANTE.

La santé publique a donc bien un prix : les milliard en moins que touchera la finance

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