"Adhérents du club" : l'expression, le syntagme, sont à des années lumière de ma vision du monde et de ma détermination à consacrer partiellement ma retraite de" Professeur agrégée de lettres classiques" à poursuivre dans MEDIAPART mon activité d'intellectuelle.
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
j'ai écouté peu de temps avant sa mort et attentive à son visage la lecture dont Jacques Dupin gratifia les admirateurs venus comme moi lui rende hommage: ce qui m' a frappée est de lire sur ses traits la m^me rage contre la mort, même rancune ontologique qui constituent les principaux ressorts d'une oeuvre poétique bouleversante qui puise dans les ressources inédites du langage épuré de la pesanteur des concessions discursives des facilités du lyrisme etc acharnée à racler le champ de l' immanence pour débusquer en vain le réél.
De l'échec de cette rencontre, d'un parcours obstiné "tournant le dos à la métaphysique" s'épuisant à ne rencontrer que "le mur imperforé du réel la poésie est advenue et s'est imposée comme l'unique recours converti en sa propre fin: rompu au réel qui toujours se dérobe le poète s'abandonne au langage, "honneur des hommes" mais qui échoue aussi et ne console ni de l'ignorance originelle ,ni de l'effroi de "la finale".
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