aux hommes blessés, j'en demande pardon

Je pleure si souvent sur la démocratie, que je hurle maintenant contre les gugus venus de Russie, pour nous faire la leçon, pousser aux démissions sans justification ! Au nom d'une pureté infâme, ils prétendent posséder les âmes, et montrer au monde entier comment les femmes respecter ! Ils n'ont pourtant ni morale ni humanité, et c'est avec les loups qu'ils s'en vont hurler ! Détruisant le peu qui nous reste de fierté et sanglotant bientôt d'être embastillé ! Policards de m puisant aux caniveaux, le peu d'esprit qui anime leur cerveau, ils s'enfuient de pays en pays après avoir sali ceux qui les ont accueillis ! Et on les regarde en héros comme l'imbécile le doigt en haut, alors qu'il nous faut haïr jusqu'à leurs manières et sans doute les jeter aux galères ! Comment excuser donc l'inexcusable ? Comment aduler le pitoyable ? Le loup est en nos murs, n'entendez pas ses murmures. L'horreur indigne n'ose donner son nom car un seul s'impose à la raison et s'il avance masqué c'est que de peur il est glacé. Sans coeur, il régit les passions et prétendra bientôt héro impure nous faire la leçon , aux hommes blessés, j'en demande pardon ! Mon pays, quoique j'en dise, vaut bien une élection !