Docilement épaulé par les média mainstream, le gouvernement se débat pour convaincre de la nécessité d’une vaccination anti-Covid. Incapable de présenter des rapports fiables sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin, il s’efforce de stigmatiser tout opposant à sa narration victorieuse, le présentant comme un complotiste arriéré, responsable potentiel du renouveau épidémique et de la mort de tous les grands parents français.
Pourtant, sérieusement, à quoi assistons-nous depuis que la pharmacie caracole en tête des industries les plus rentables ? A une série de scandales nommés Dépakine, 5Fu, Distilbène, Finastéride, Endoxan, Vioxx, Médiator, Androcur, Lutéran, Lévothyrox… des vies et des santés ravagées par centaines de milliers ! Mais surtout à la mise en place progressive d’une organisation quasi mafieuse pour empêcher toute lutte contre les méfaits des laboratoires : durée pour agir en justice réduite drastiquement de 30 à 3 ans ! Procédures interminables pour apporter la preuve d’un dommage dû à la prise d’un médicament, concept de défectuosité imposé par L’Europe : la victime doit désormais non seulement démontrer l’imputabilité, mais aussi la défectuosité du produit de santé… autant de leviers pour protéger Big Pharma. Comment garder confiance ? Alors même que pour le vaccin contre le Coronavirus, les laboratoires ont déjà obtenu l’absence de responsabilité juridique en cas d’effets secondaires ou de décès.
Bien sûr, les amishs que nous sommes, n’oublient pas que les vaccins ont permis d’éradiquer ou de maîtriser un grand nombre de fléaux tels la variole, la diphtérie, le tétanos, la fièvre jaune… Ce n’est pas l’intérêt des vaccins que nous mettons en doute mais la fiabilité et les motivations de ceux qui les fabriquent aujourd’hui. Un exemple parmi de trop nombreux autres, un exemple que seul le courage de plusieurs associations et de rares chercheurs a révélé : les ravages causés par de récents vaccins contre la grippe H1N1, l’hépatite B, responsables de plusieurs maladies auto-immunes. Les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants dans les vaccins ont généré de nombreux cas de Myofasciite à Macrophages, syndrome de fatigue chronique, encéphalomyélite myalgique (douleurs neuromusculaires, épuisement chronique, troubles de la mémoire) avec 96% des malades en invalidité, dont les ¾ en invalidité totale. Si l’organisme est censé éliminer l’aluminium en 2 à 3 semaines, chez certains patients, il perdure de nombreux mois et migre dans l’organisme, accédant aux ganglions lymphatiques régionaux puis à des organes distants comme la rate, le foie et le cerveau. Sa neurotoxicité cause alors de nombreuses pathologies que l’industrie pharmaceutique s’efforce de nier : scléroses en plaques post-vaccinales, encéphalomyélites aigues disséminées, certains cas d’autisme… Des erreurs, des approximations qui montrent le véritable visage des laboratoires, leur peu de considération de la santé humaine, leur mauvaise foi. Alors oui, nous nous méfions mais parce que le passé nous y a poussé. C’est ce qu’on nomme l’expérience et aussi notre droit à défendre notre santé. D’autant que les vaccins développés aujourd’hui utilisent une approche génétique qui impose un plus grand recul que les produits jusque là utilisés.