C'est bien la faute à Macron.
Que croyez vous que notre président a dit à Poutine au téléphone avant l'invasion de l'Ukraine.
Vas-y Vladimir, c'est le moment. J'entre en campagne et cela permettra d'oublier mon quinquennat et de n'avoir à débattre de rien d'autre que de l'avancée de tes troupes et de mobiliser les électeurs contre toi.
Rassure-toi, une fois réélu, je saurai m'en souvenir. Je t'appellerai régulièrement pour te tenir au courant.
Quelques jours plus tard :
Allo Vladimir, ça marche, j'ai pris près de 5 % dans les sondages. Comme prévu on ne va pas couper l'arrivée de gaz et de pétrole. T'as vu à Versailles, un peu de bling bling à la française, quelques bonnes bouteilles pour oublier ton si bon caviar qui n'aurait pas été de circonstance, et hop rien qui ne puisse te nuire. Prend soin de toi. Bon je te quitte, je rentre à la maison. Je crois que Brigitte a ouvert une boite du fameux et délicieux béluga que tu m'avais envoyée avant notre guerre