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Les militants Kurdes poursuivi.e.s par la mort en France. Fidan Dogan, Sakine Cansiz et Leyla Saylemez assassinées en 2013. Emine Kara, Mir Perwer, Abdurahman Kizil aujourd'hui. Pas un hasard.
Les pouvoirs occidentaux les traitent en terroristes. En France la violence raciste a droit de cité dans les rues. Ils étaient en France pour être protégés. Leur assassinat témoignent du danger constant qu'il court au contraire.
Une manifestation était prévue le 9 janvier pour les assassinats des 3 militantes kurdes assassinées en 2013; Fidan Dogan, Sakine Cansiz et Leyla Saylemez
Il faudra donc ajouter maintenant trois noms. Emine Kara, Mir Perwer, Abdulrahman Kizil,

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Emine Kara
Emine Kara était responsable du Mouvement des femmes kurdes de France. Elle avait combattu et milité durant trente ans dans les quatre parties du Kurdistan, en Turquie, Irak, Syrie et Iran. Selon Berivan Firat, une autre porte-parole du CDKF, Emine Kara avait pris part au combat contre l’organisation Etat islamique (EI), les armes à la main, durant la reconquête de Rakka par les forces kurdes appuyées par la coalition internationale. Elle avait depuis demandé l’asile politique en France et s’était vu refuser le statut de réfugiée par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), décision dont elle avait fait appel.
Abdulrahman Kizil,
Fréquentait régulièrement le Centre culturel Ahmet-Kaya

Mir Perwer
un chanteur kurde réfugié politique en France