Pas envie de faire une démonstration, pas envie de discutailler indéfiniment avec les personnes intoxiquées par les médias ou sans expérience scientifique dans le domaine de l'épidémiologie. Je ne veux plus chercher à convaincre ceux qui croient sans doute ni recul que l'épidémie de Covid à rebonds est une menace vitale pour la collectivité. Menace contre laquelle ils sont prêts à ce que soient prises toutes les mesures possibles, quitte à réduire nos libertés à peau de chagrin...
Ce qu'on sait ou ce qu'on ne sait pas...
Non. On sait maintenant deux trois choses tout de même. Ces virus sont dangereux essentiellement pour les personnes âgées et les immuno-déprimées. Pour le reste de la population cela n'engendre rien ou pas grand chose (on attrape le Covid sans s'en rendre compte) mais, c'est vrai, parfois des effets similaires à ceux d'une grippe violente et - quoique très rarement - des problèmes respiratoires. Une mortalité globale de moins de 1 / 1000. Donc pas de quoi s'affoler.
Quand aux vaccins qui nous sont vantés comme ce qui va tout changer et soit-disant permettre de revenir à la normale, il faut rappeler que:
- nous ne disposons d'aucune information scientifique sur ces vaccins hormis la propagande des laboratoires eux-mêmes,
- aucune étude indépendante d'efficacité n'a pu encore être réalisée
- toutes les conséquences d'éventuels problèmes qu'engendreraient ces vaccins ont été, dans les contrats de vente, soigneusement reportées sur les états et non sur les firmes pharmaceutiques - ce qui est loin d'être rassurant !
- vu l'extrême mutabilité du virus (surtout quand il part dans une population animale avant de revenir à l'homme...), la fiabilité annoncée des vaccins ressemble en fait plus à un coup de poker menteur plutôt qu'une assertion vérifiée
- les nouveaux vaccins qui ont été achetés par la France et qui sont à notre disposition ne sont en fait pas des vaccins mais de la thérapie génique; ils font tous appel à des procédés sur lesquels nous n'avons ni modèle animal ni recul et dont les conséquences à long terme sont inconnues.
- la réalisation de tels tests géniques grandeur nature sur les personnes prioritaires, c'est à dire essentiellement les résidents des Ephads - sans même l'avoir fait chez les animaux au préalable - n'est pas éthique. C'est peut être guidé par l'inconscience mais c'est potentiellement criminel.
Un peu de bon sens, serait-ce si difficile?
Quelques mesures de bon sens suffiraient à remettre les choses dans l'ordre:
- Mettre le paquet sur la prévention (Vit D3, vit C, Zinc - exercices de respiration consciente) chez les populations à risque
- Soigner les malades le plus tôt possible en utilisant ce dont on sait qui marche à un stade précoce (hydroxychloroquine par exemple) et mieux les isoler le temps de leur contagiosité
- Eviter les mesures inutiles car elles poussent à transgresser les autres. C'est ainsi qu'on devrait, par exemple, supprimer l'obligation du port du masque en extérieur.
- Ouvrir rapidement des lits supplémentaires à l'hôpital publique et être prêt à réquisitionner si nécessaire une partie des lits des cliniques privées pour redonner la possibilité à l'hôpital publique de soigner toutes les autres pathologie de façon efficace (il n'y a pas que le Covid !)
- Et laisser la population retrouver une vie sociale, une activité économique, des projets... en supprimant tout couvre-feu, limitation de déplacement ou toute autre forme de confinement.
Enfin, que l'on laisse les chercheurs faire leur travail en autorisant les études qu'ils souhaitent réaliser et les médecins de ville faire le leur en supprimant, en particulier, tout interdit à la prescription. Et que l'on nettoie les comités et conseils sanitaires de toutes les personnes ayant reçu cadeaux, voyages, rémunérations etc. des laboratoires. Il y a assez de personnes de qualité en France pour se passer de certains...
Une situation qui se tend...
En bref, aucune de ces mesures ne semble être dans le logiciel des énarques qui gravitent à Paris dans l'apesanteur de notre gouvernement et de notre haute administration... Persister dans le recours à ces mesures sanitaires pour un virus d'une dangerosité relativement faible impressionne. Car la Covid et ses variants à venir risquent fort de s'installer dans la durée... Et d'autres virus vont inévitablement survenir... Faudra-t-il alors rester confinés ou tenus en laisse éternellement? Choix sanitaires faits soi-disant pour sauver quelques uns, quitte à altérer la vie de tous et à saper voire détruire la vie d'un grand nombre. Choix imbéciles ou pervers.
La férocité avec laquelle on cherche à imposer et faire durer l'état d'urgence sanitaire (auxquelles il faut ajouter bashing, attaques diverses des scientifiques dissidents, matraquage médiatique...) laisse soupçonner soit de l'incompétence (mais alors elle est magistrale!) soit des arrières pensées de toutes sortes: vénales - enrichissement des labos et de leurs commensaux - ou politiques - mise au pas des récalcitrants à la prédation néolibérale promue par Macron et les siens (quelques rappels pour ceux qui auraient déjà oublié: "droit du travail", "sécurité globale", "réforme des retraites", reconduction du fermage des autoroutes, vente d'Alstom, d'ADP, etc...).
Les conséquences de ce refus du bon-sens politique dans la durée sont une accentuation des états dépressifs et une augmentation des suicides. Cela entraine par ailleurs une défiance de plus en plus affirmée envers un système politique dévoyé qui n'est plus au service du bien publique et la montée progressive d'une colère encore sourde et diffuse...
Depuis 5000 ans l'état cherche à domestiquer et soumettre ses citoyens. Y parviendra-t-il ?