...et ce fut l'intronisation en toute légalité d'Adolf Hitler comme Chancelier du Reich, dont l'histoire consignera à jamais la trace épouvantable !
Aujourd'hui où tout cela est désormais relégué dans les manuels scolaires, où ce terrifiant passé semble bien lointain, la France vit avec le calme indifférent qui précède les grandes vacances de l'été, dans un climat analogue à celui de nos paisibles voisins du temps de la République de Weimar.
Un calme inquiétant et trompeur, qui précède sans doute la tempête...
Car le réveil risque d'être brutal après cette longue sieste agitée du macronisme libéral, qui a bien enfumé les esprits avec sa communication lénifiante et ses effets d'annonce afin de ne pas troubler la digestion des classes possédantes...
Les élections seraient-elles inévitablement un piège à cons ?
Le rideau va se déchirer et notre pays, morcelé, divisé et traumatisé,, va s'enfoncer dans les eaux glacées du calcul populiste.
Ce sera le dernier avatar de cette "France d'en haut", qui se congratule et s'auto-satisfait dans sa rapacité.
Son dernier message : un néo- fascisme rampant, haineux, xénophobe, raciste et intolérant.
A moins que ?