Un reportage du Daily Telegraph sur le bataillon Azov, bataillon néonazi arborant l'emblème de la rune du loup.
Citation : Alors que les forces armées de l'Ukraine resserrent l'étau autour des séparatistes pro-russes dans l'est du pays, le gouvernement soutenu par l'Occident à Kiev lance des groupes de miliciens - certains ouvertement néo-nazis - à l'avant de la bataille.
Le bataillon d'Azov a la réputation la plus effrayante de tous.
L'utilisation par Kiev de paramilitaires volontaires [selon les "pro-russes", il s'agit de mercenaires] pour éradiquer les «républiques populaires» de Donetsk et de Lougansk ... devrait donner un frisson à l'Europe. Les bataillons formés récemment tels que Donbass, Dnipro et Azov, avec plusieurs milliers d'hommes sous leur commandement, sont officiellement sous le contrôle du ministère de l'Intérieur, mais leur financement est trouble, leur formation insuffisante et leur idéologie souvent alarmante.
Chaque nouvelle recrue reçoit seulement quelques semaines de formation avant de rejoindre le bataillon. Le ministère de l'Intérieur et des donateurs privés fournissent les armes.
Depuis le coup d'état de février 2014, la presse britannique est la seule en Europe à tenter de refléter correctement les événements en Ukraine, dans la recherche de la vérité. Le régime de Kiev qui expédie ces milices vers l'Est est soutenu par l'Union européenne, en particulier par l'Allemagne, la Pologne, par les Pays baltes et par la France.
Le bataillon Azov (Tom Parfitt)
La mission historique de notre nation en ce moment critique est d'amener les races blanches du monde dans une croisade finale pour leur survie
La rune du loup, sur un véhicule du bataillon SS Das Reich
Un camion converti avec des volets d'acier utilisé par le bataillon d'Azov et connu des combattants comme «le bloc de fer» (Tom Parfitt)