La mort d'une figure de l'extrême droite
Fasciste, il défendait le projet d'une France où la domination ultraconservatrice et capitaliste règnerait. Un projet partagé par de nombreux réseaux d'extrême droite.
Un projet qui n'est pas mort avec lui
La tristesse que je ressens ne provient pas de sa mort. Non, cette tristesse vient du fait que son projet n'est pas mort avec lui. Pire, il risque de se concrétiser très bientôt en France.
Une menace toujours présente
À l'heure où le fascisme fait un retour en force en Europe, il est temps d'exterminer leurs idées antidémocratiques. Sinon, ils écraseront la démocratie, les précaires et les minorités.
Les gauches bretonnes et françaises doivent continuer à lutter contre les Le Pen. Grâce à la convergence des luttes d'émancipation sociale, écologique, culturelle etc.
Torret eo penn ar familh, met n'eo ket echu penn-da-benn !
Le chef de famille est tombé, mais c'est loin d'être terminé !